Radio Lana Del Rey (dall'album Born To Die, 2012) Traduzione Nemmeno loro possono fermarmi ora Ragazzo, sto volando nel cielo Le loro pesanti parole non possono trascinarmi giù Ragazzo, sono risorta dalla morte Nessuno sa quanto fosse difficile la vita Adesso non ci penso nemmeno più perchè Ti ho finalmente trovato Lorsqu’Elizabeth Woolridge Grant alias Lana Del Rey pointe le bout de son nez devant le grand public en 2011, on se dit buzz qui monte, épisode n°4545896 ». Avec une poigné de singles dont Blue Jeans, le génial et entêtant Video Games et des allures de pin-up fifties, cette jeune New-yorkaise née le 21 juin 1985 d’alors à peine un quart de siècle donne sa version du poker d’as Anna Calvi, Amy Winehouse, Nancy Sinatra et Cat Power. D’évidentes influences qu’elle associe alors avec une classe réjouissante, ne se contentant pas de jouer exclusivement la carte de la vamp mystérieuse et creuse échappée d’un film de David Lynch... Ayant grandi à Lake Placid dans l’état de New York non loin de la frontière canadienne, elle s’est d’abord éprise de hip hop, écoutant Eminem et Notorious BIG en boucle. En s’installant à New York pour poursuivre des études de métaphysique, elle découvre Bob Dylan et Leonard Cohen mais surtout Nirvana, son groupe favori. Lana Del Rey se met alors à composer quelques pop songs. La suite est prévisible en ces temps d’accélération. Un titre posté sur le net et le buzz grandit à la vitesse de la lumière. Le 27 janvier 2012, son album Born to Die vient concrétiser ce buzz au tournant après le succès intergalactique de ce disque, Lana Del Rey compte bien démontrer que son talent est bien là pour durer et n’est évidemment pas un simple feu de paille. Avec le bel Ultraviolence qui paraît le 13 juin 2014, elle dépasse les espérances de ses fans avec un disque assez fascinant produit par Dan Auerbach des Black Keys. On y retrouve toujours ces ambiances cinématographiques, mélancoliques pour ne pas dire sombres, avec en prime cette fois une attention toute particulière portée aux guitares. Une voix en réverbération, une rythmique chloroformée et des mélodies envoûtantes font d'Ultraviolence un album élégant dans les recoins duquel on se love sans retenue. Un an seulement plus tard, elle enchaîne avec Honeymoon. Comme toujours avec les artistes majeures, la New-yorkaise fascine ou agasse. Cet opus ne changera pas la donne. Ses détracteurs feraient pourtant bien de tendre sérieusement l’oreille à ce rock en apesanteur et très cinématographique, langoureuse complainte des cœurs brisés et d’une Amérique révolue légèrement sépia… Lana Del Rey chante toujours aussi divinement bien et la Lune de miel qu’elle propose ici a justement le goût du miel. Quatre ans après le choc de Video Game en 2011, elle a conservé la fascinante singularité de sa musique, de sa voix et de son univers. Nuages de réverbération, guitare baryton plongée dans un océan d’écho, effluves fifties, rythmique cotonneuse et sensualité à tous les étages Lana Del Rey impose un peu plus sa marque de fabrique à laquelle il est difficile de ans après Honey Moon, Lana Del Rey revient avec Lust for Life, son cinquième album studio. La voix est magnétique, plus charnelle que jamais, les mélodies solides. Si le monde version Lana reste empesé, lent, pensif, les featuring savamment choisis lui offrent quelques éclaircies bienvenues. La baby doll a ainsi convié quelques amis à son bal. A$AP Rocky officie sur Groupie Love et Summer Bummer où il ramène le jeune loup d’Atlanta Playboi Carti, The Weeknd sur Lust for Life, Jonathan Wilson sur Love. D’autres, et non des moindres, ont reçu leur carton d’invitation. Stevie Nicks, chanteuse emblématique de Fleetwood Mac et Sean Ono Lennon. 16 titres, 72 minutes. Et un mélange des genres allant du hip hop, avec des accents de trap, au psyché, en passant par la ballade au piano, avec toujours une attention portée sur l’acoustique. Un furieux désir de vivre donc, qui renoue avec celui qui la fait reine, Born To Die. Presque ironique. Une boucle est-elle bouclée ? En tous les cas, une mélancolie aux couleurs fanées toujours aussi attractive dont le vernis ne craque plus seulement pour découvrir les affres béantes d’une idole, mais qui aborde aussi une Amérique actuelle à la dérive, entre passé et magnétisme de sa voix charnelle est intangible. Lana Del Rey peut susurrer le mode d’emploi d’un aspirateur sans fil, voire même inviter la terre entière à ses fiestas, elle déambule invariablement sur sa petite planète bien à elle faite de lenteur et de mélancolie. C’est sa manière à elle de causer de son époque, de ses contemporains, de l’American Dream et, tant qu’à faire, d’elle-même… Avec son titre choc, sa pochette à l’esthétique pop avec Duke Nicholson, petit-fils de Jack Nicholson, à bord d’un bateau s’éloignant d’une côte en feu et son tempo particulièrement lent que des ballades, pas de titres uppercut, Norman Fucking Rockwell! qui paraît le 30 août 2019 offre un ADN plutôt folk. Une grande tenture sonore dans laquelle se prélasse la chanteuse, plus mélancolique et évanescente que jamais. Un disque qu’elle a surtout étroitement conçu avec Jack Antonoff, auteur/producteur chouchou des pop stars comme Taylor Swift, St. Vincent, Lorde, Carly Rae Jepsen et Pink, qui habille son spleen avec autant de sobriété que d’efficacité. Ovni de ce bel album au ralenti dans ce monde de brutes, une reprise de Doin’ Time 1996 du groupe Sublime elle-même sorte de relecture du Summertime de Gershwin, preuve supplémentaire de l’originalité du cas Lana Del Rey, bien plus complexe que certains voudraient le laisser croire…À partir de 2020, puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, elle opte pour l’intimité feutré, les mélodies de boudoir et les arrangements de confessionnal. Avec Chemtrails Over The Country Club, sa pop se fait plus folk que jamais, même si l’écho et la réverb’ dans lesquels se prélasse sa voix toujours aussi exquise, sensuelle et hypnotique la positionne là-haut par-delà les cumulonimbus. Cet idiome folk la fascine d’ailleurs au point qu’elle referme son disque, avec l’aide de Natalie Mering alias Weyes Blood et Zella Day, par une magnifique reprise du For Free de Joni Mitchell, extrait de son album Ladies of the Canyon 1970. Il y a aussi ces guitares aux effluves de la scène seventies de Laurel Canyon sur Not All Who Wander Are Lost, et celles, tout aussi virginales, qui ouvrent Yosemite. Comme souvent, Lana Del Rey sort sa plume pour dézinguer les affres de la célébrité et du star-system et ce dès White Dress qui ouvre l’album, regrettant le bon vieux temps où elle était barmaid, inconnue et écoutait Sun Ra, Kings of Leon et les White Stripe when they were white hot ». Plus loin, elle poursuit les références à l’histoire de la musique comme sur Breaking Up Slowly en duo avec Nikki Lane où elle cite les tempêtes conjugales entre les deux légendes de la country music, Tammy Wynette et George Jones. Chanson après chanson, elle avance en amazone solitaire, cherchant à ne soutenir aucune cause, aucun combat, juste à faire ce que bon lui semble Well, I don't care what they think. Drag racing my little red sports car. I'm not unhinged or unhappy, I'm just wild ». Ce Chemtrails Over The Country Club montre surtout qu’elle excelle dans l’art du story telling. Maniant à la pince à épiler chaque détail de ses paroles. À 35 ans, Lana Del Rey a sans doute signé son album le plus libre et le plus accompli. © MZ/Qobuz Lire plus Écouter sur Qobuz Voir dans le magazine Lana Del ReyLorsqu’Elizabeth Woolridge Grant alias Lana Del Rey pointe le bout de son nez devant le grand public en 2011, on se dit buzz qui monte, épisode n°4545896 ». Avec une poigné de singles dont Blue Jeans, le génial et entêtant Video Games et des allures de pin-up fifties, cette jeune New-yorkaise née le 21 juin 1985 d’alors à peine un quart de siècle donne sa version du poker d’as Anna Calvi, Amy Winehouse, Nancy Sinatra et Cat Power. D’évidentes influences qu’elle associe alors avec une classe réjouissante, ne se contentant pas de jouer exclusivement la carte de la vamp mystérieuse et creuse échappée d’un film de David Lynch... Ayant grandi à Lake Placid dans l’état de New York non loin de la frontière canadienne, elle s’est d’abord éprise de hip hop, écoutant Eminem et Notorious BIG en boucle. En s’installant à New York pour poursuivre des études de métaphysique, elle découvre Bob Dylan et Leonard Cohen mais surtout Nirvana, son groupe favori. Lana Del Rey se met alors à composer quelques pop songs. La suite est prévisible en ces temps d’accélération. Un titre posté sur le net et le buzz grandit à la vitesse de la lumière. Le 27 janvier 2012, son album Born to Die vient concrétiser ce buzz au tournant après le succès intergalactique de ce disque, Lana Del Rey compte bien démontrer que son talent est bien là pour durer et n’est évidemment pas un simple feu de paille. Avec le bel Ultraviolence qui paraît le 13 juin 2014, elle dépasse les espérances de ses fans avec un disque assez fascinant produit par Dan Auerbach des Black Keys. On y retrouve toujours ces ambiances cinématographiques, mélancoliques pour ne pas dire sombres, avec en prime cette fois une attention toute particulière portée aux guitares. Une voix en réverbération, une rythmique chloroformée et des mélodies envoûtantes font d'Ultraviolence un album élégant dans les recoins duquel on se love sans retenue. Un an seulement plus tard, elle enchaîne avec Honeymoon. Comme toujours avec les artistes majeures, la New-yorkaise fascine ou agasse. Cet opus ne changera pas la donne. Ses détracteurs feraient pourtant bien de tendre sérieusement l’oreille à ce rock en apesanteur et très cinématographique, langoureuse complainte des cœurs brisés et d’une Amérique révolue légèrement sépia… Lana Del Rey chante toujours aussi divinement bien et la Lune de miel qu’elle propose ici a justement le goût du miel. Quatre ans après le choc de Video Game en 2011, elle a conservé la fascinante singularité de sa musique, de sa voix et de son univers. Nuages de réverbération, guitare baryton plongée dans un océan d’écho, effluves fifties, rythmique cotonneuse et sensualité à tous les étages Lana Del Rey impose un peu plus sa marque de fabrique à laquelle il est difficile de ans après Honey Moon, Lana Del Rey revient avec Lust for Life, son cinquième album studio. La voix est magnétique, plus charnelle que jamais, les mélodies solides. Si le monde version Lana reste empesé, lent, pensif, les featuring savamment choisis lui offrent quelques éclaircies bienvenues. La baby doll a ainsi convié quelques amis à son bal. A$AP Rocky officie sur Groupie Love et Summer Bummer où il ramène le jeune loup d’Atlanta Playboi Carti, The Weeknd sur Lust for Life, Jonathan Wilson sur Love. D’autres, et non des moindres, ont reçu leur carton d’invitation. Stevie Nicks, chanteuse emblématique de Fleetwood Mac et Sean Ono Lennon. 16 titres, 72 minutes. Et un mélange des genres allant du hip hop, avec des accents de trap, au psyché, en passant par la ballade au piano, avec toujours une attention portée sur l’acoustique. Un furieux désir de vivre donc, qui renoue avec celui qui la fait reine, Born To Die. Presque ironique. Une boucle est-elle bouclée ? En tous les cas, une mélancolie aux couleurs fanées toujours aussi attractive dont le vernis ne craque plus seulement pour découvrir les affres béantes d’une idole, mais qui aborde aussi une Amérique actuelle à la dérive, entre passé et magnétisme de sa voix charnelle est intangible. Lana Del Rey peut susurrer le mode d’emploi d’un aspirateur sans fil, voire même inviter la terre entière à ses fiestas, elle déambule invariablement sur sa petite planète bien à elle faite de lenteur et de mélancolie. C’est sa manière à elle de causer de son époque, de ses contemporains, de l’American Dream et, tant qu’à faire, d’elle-même… Avec son titre choc, sa pochette à l’esthétique pop avec Duke Nicholson, petit-fils de Jack Nicholson, à bord d’un bateau s’éloignant d’une côte en feu et son tempo particulièrement lent que des ballades, pas de titres uppercut, Norman Fucking Rockwell! qui paraît le 30 août 2019 offre un ADN plutôt folk. Une grande tenture sonore dans laquelle se prélasse la chanteuse, plus mélancolique et évanescente que jamais. Un disque qu’elle a surtout étroitement conçu avec Jack Antonoff, auteur/producteur chouchou des pop stars comme Taylor Swift, St. Vincent, Lorde, Carly Rae Jepsen et Pink, qui habille son spleen avec autant de sobriété que d’efficacité. Ovni de ce bel album au ralenti dans ce monde de brutes, une reprise de Doin’ Time 1996 du groupe Sublime elle-même sorte de relecture du Summertime de Gershwin, preuve supplémentaire de l’originalité du cas Lana Del Rey, bien plus complexe que certains voudraient le laisser croire…À partir de 2020, puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, elle opte pour l’intimité feutré, les mélodies de boudoir et les arrangements de confessionnal. Avec Chemtrails Over The Country Club, sa pop se fait plus folk que jamais, même si l’écho et la réverb’ dans lesquels se prélasse sa voix toujours aussi exquise, sensuelle et hypnotique la positionne là-haut par-delà les cumulonimbus. Cet idiome folk la fascine d’ailleurs au point qu’elle referme son disque, avec l’aide de Natalie Mering alias Weyes Blood et Zella Day, par une magnifique reprise du For Free de Joni Mitchell, extrait de son album Ladies of the Canyon 1970. Il y a aussi ces guitares aux effluves de la scène seventies de Laurel Canyon sur Not All Who Wander Are Lost, et celles, tout aussi virginales, qui ouvrent Yosemite. Comme souvent, Lana Del Rey sort sa plume pour dézinguer les affres de la célébrité et du star-system et ce dès White Dress qui ouvre l’album, regrettant le bon vieux temps où elle était barmaid, inconnue et écoutait Sun Ra, Kings of Leon et les White Stripe when they were white hot ». Plus loin, elle poursuit les références à l’histoire de la musique comme sur Breaking Up Slowly en duo avec Nikki Lane où elle cite les tempêtes conjugales entre les deux légendes de la country music, Tammy Wynette et George Jones. Chanson après chanson, elle avance en amazone solitaire, cherchant à ne soutenir aucune cause, aucun combat, juste à faire ce que bon lui semble Well, I don't care what they think. Drag racing my little red sports car. I'm not unhinged or unhappy, I'm just wild ». Ce Chemtrails Over The Country Club montre surtout qu’elle excelle dans l’art du story telling. Maniant à la pince à épiler chaque détail de ses paroles. À 35 ans, Lana Del Rey a sans doute signé son album le plus libre et le plus accompli. © MZ/Qobuz Artistes similaires Blue Banisters Lana Del Rey Alternatif et Indé - Paru chez Polydor Records le 22 oct. 2021 Sept mois seulement après Chemtrails Over the Country Club et alors que la planète sort progressivement de sa léthargie pandémique, Lana Del Rey publi ... Chemtrails Over The Country Club Lana Del Rey Pop - Paru chez Polydor Records le 19 mars 2021 Puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, la New-Yorkaise installée à Los Angel ... Born To Die Lana Del Rey Alternatif et Indé - Paru chez Polydor Records le 1 janv. 2011 L'album, enfin ! Quelques singles auront suffit à faire de cette jeune Américaine un phénomène non seulement web mais surtout musical. 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She spoke with MTV about its background For “Born To Die,” I wrote a treatment for it called “The Lonely Queen,” so that I would be in a setting that represented Heaven, sort of in like a remote castle in Romania. Walking through the halls flanked by tigers. And then she’d be flashing back to happier times in the arms of her love. And then Yoann Lemoine adapted that treatment and made it more doable. But I love that video. I really do. I can’t believe it turned out so beautifully. I spent a lot of time thinking about where I wanted it to go. Youre not mean, you're just born to be seen. Born to be wild. A little party never hurt no one, that's why it's alright. You want in but you just can't win. So you hang in the lights. You're so Art Deco out on the floor. Shining like gunmetal, cold and unsure. Baby, you're so ghetto, you're looking to score. When they all say hello, you try to
22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 1816 D’où viennent les paroles, les clips, le style de Lana Del Rey ? Qui l’inspire ? Elizabeth Woolridge Grant commence à chanter à l’école dans la chorale, apprend à jouer de la guitare grâce à son oncle, et commence à écrire et composer ses chansons après le lycée. Elle utilisera plusieurs noms de scènes Sparkle Jump Rope Queen, May Jailer, Lizzy Grant avant de se choisir le nom de Lana Del Rey. C’est en 2010 qu’elle ressent le besoin de décider d’un nom pour orienter sa musique, son personnage. Elle s’inspire du nom de l’actrice Lana Turner, incarnation du glamour pendant l’âge d’or du cinéma hollywoodien, et de la Chevrolet Delray des année sous ce nom qui lui rappelle l’exotisme et la côte floridienne, qu’elle met en ligne le clip de Vidéo Games en 2011 sur YouTube. Ce montage de vidéos amateurs vieillies, d’elle-même avec un style vintage, et de paysages hollywoodiens, est un grand succès. On retrouve ce titre sur l’album Born To Die qui sort en janvier enchaîne les succès par la suite. En novembre 2012 elle sort un nouvel album Paradise, qui contient le single Blue Velvet, une reprise de Bobby Vinton. Cette reprise est un grand succès puisqu’elle fait partie d’un projet publicitaire pour la marque de vêtements H&M, avec un visuel qui fait écho au style de David Lynch, une des inspirations de Lana Del Rey pour sa musique et ses clips. En effet, il n’y a pas que la musique qui est pour elle une source de création. Elle puise dans les œuvres de Tennessee Williams, Jack Kerouac, Pablo Picasso, John Lautner et Frank Lloyd Wright, pour rafraîchir sa façon de voir les choses ou redonner un élan à son écriture. En 2013 c’est la Bible qui l’inspire pour un court métrage nommé Tropico. Elle y apparaît en Vierge Marie, en Ève, et en strip-teaseuse. Le film a pour thème la rédemption on y voit des sosies de John Wayne, Elvis Presley, Marilyn Monroe et Jésus. On retrouve donc de nombreux éléments bibliques avec le style vintage de Lana Del Baby, sort le 8 juin 2014 sur l’album Ultraviolence. Ce titre rend hommage à Lou Reed qui désirait travailler avec elle. Mais après s'être donné rendez-vous à New York, il est décédé quelques minutes après son atterrissage. On peut voir un parallèle au niveau du titre de Lou Reed Coney Island Baby. De plus, sur ce titre elle chante He plays guitar, while I sing Lou Reed ».En 2015 elle explique le choix du titre de son album Honeymoon C'est le mot qui résume le rêve ultime. La vie est une lune de miel, tu sais ? La vie, l'amour, le paradis, la liberté... C'est pour toujours. ».En juillet 2017, elle offre un album moins tragique et dramatique, Lust Fort Life. J'ai fait mes quatre premiers albums pour moi, mais celui-ci est pour mes fans et concerne ce vers quoi j'espère que nous nous dirigeons tous. » indique-t-elle. Sur cet album, la chanson Love contient un hommage aux Beach Boys, où on entend Don’t worry baby » répété plusieurs fois. On lui attribue des genres musicaux comme la Dream pop, le rock psychédélique, l’indie pop, la sadcore, et bien d’autres. En effet on retrouve bien quelques caractéristiques de ces genres chez Lana chants murmurés, rythme répétitifs envoutants, tempo lent, et paroles graves. Bien qu’elle ait choisit la chanson comme profession, sa première passion est l’écriture, qu’on retrouve bien sûr dans les paroles de ses visuel est très important pour Lana Del Rey, le clip pourra accompagner la musique ou montrer une histoire qu’on n’entend pas à la première écoute. Il y a toujours un style très glamour hollywoodien mêlé avec des références culturelles populaires américaines, et elle s’auto-proclame Gangsta Nancy Sinatra ». A plusieurs reprises ses clips racontent une histoire vraie. Dans Ride on voit l’histoire de sa vie ; sous forme d’hommage dans Summertime Sadness l’actrice Jaime King joue le rôle d’une amie de la chanteuse, morte en 1999 ; dans Freak on reconnait l’historie du suicide de masse de ne faut pas s’étonner de retrouver des images similaires, ou identiques d’une vidéo à une autre. Des esthétiques, des paysages, des scénarios reviennent fréquemment, et le recyclage d’images est courant dans les clips de Lana Del ce soit en chanson ou en image, les créations de Lana Del Rey sont riches en références de tous ceux qui l’inspirent. Il suffit de bien observer ou tendre l’oreille, et c’est une tâche très agréable, alors nhésitez pas à vous lancer à l’écoute de cette artiste qui nous réserve encore beaucoup de bonnes choses. Published by Barbara C. - dans Coups de cœur, coups de gueule
LanaDel Rey Lyrics Quiz. There's some reason why I can't sit still Every waking moment I feel so unfulfilled. But I can't fix him, can't make him better And I can't do nothing about this strange weather. Sometimes I
Paroles en Anglais Born To Die Traduction en Français Né pour mourir Why? hey, man! Pourquoi? Hey, mec! Who, me? alright! Qui, moi? bien! Why? hey, man! Pourquoi? Hey, mec! Feet don't fail me now Pieds ne m'abandonnent pas maintenant Take me to the finish line Emmenes-moi jusqu'à la ligne d'arrivée Oh, my heart, it breaks every step that I take Mon cœur entier se brise à chaque pas que je fais But I'm hoping at the gates, they'll tell me that you're mine Mais j'espère que les portes,* Me diront que tu m'appartiens Walking through the city streets, is it by mistake or design? Faire le tour de la ville, Est-ce une erreur ou un dessein? I feel so alone on a Friday night Je me sens si seul un vendredi soir Can you make it feel like home, if I tell you you're mine? Peux-tu faire cela notre chez nous, si je te dis que tu es mien? It's like I told you, honey C'est ce que je t'ai dis bébé Don't make me sad, don't make me cry Ne me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Sometimes love is not enough and the road gets tough Parfois, l'amour ne suffit pas et la route devient difficile I don't know why Je ne sais pas pourquoi Keep making me laugh – Let's go get high Continue de me faire rire – On n'a qu'à se défoncer The road is long, we carry on La route est longue, on continu Try to have fun in the meantime En essayant de s'éclater en attendant Come and take a walk on the wild side Viens et promène toi dans le coté sauvage Let me kiss you hard in the pouring rain Laisse moi t'embrasser sous la pluie battante You like your girls insane Tu les aimes complètement folles Choose your last words, this is the last time Choisis tes derniers mots, C'est la dernière fois 'Cause you and I, we were born to die Car toi et moi, nous sommes nés pour mourir Lost, but now I am found Égarée mais maintenant je me suis retrouvée I can see, but once I was blind Je peux voir, mais une fois que j'étais aveugle I was so confused as a little child J'étais si désemparée tout comme une enfant All the answers, honey Toutes les réponses, chérie Don't make me sad, don't make me cry Ne me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Sometimes love is not enough and the road gets tough Parfois, l'amour ne suffit pas et la route devient difficile I don't know why Je ne sais pas pourquoi Keep making me laugh – Let's go get high Continue de me faire rire – On n'a qu'à se défoncer The road is long, we carry on La route est longue, on continu Try to have fun in the meantime En essayant de s'éclater en attendant Come and take a walk on the wild side Viens et promène toi dans le coté sauvage Let me kiss you hard in the pouring rain Laisse moi t'embrasser sous la pluie battante You like your girls insane Tu les aimes complètement folles So, choose your last words, this is the last time Alors, Choisis tes derniers mots, C'est la dernière fois 'Cause you and I, we were born to die Car toi et moi, nous sommes nés pour mourir We were born to die Nous sommes nés pour mourir We were born to die Nous sommes nés pour mourir Come and take a walk on the wild side Viens et promène toi dans le coté sauvage Let me kiss you hard in the pouring rain Laisse moi t'embrasser sous la pluie battante You like your girls insane Tu les aimes complètement folles So, don't make me sad, don't make me cry Alors, Ne me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Sometimes love is not enough and the road gets tough Parfois, l'amour ne suffit pas et la route devient difficile I don't know why Je ne sais pas pourquoi Keep making me laugh – Let's go get high Continue de me faire rire – On n'a qu'à se défoncer The road is long, we carry on La route est longue, on continu Try to have fun in the meantime En essayant de s'éclater en attendant Come and take a walk on the wild side Viens et promène toi dans le coté sauvage Let me kiss you hard in the pouring rain Laisse moi t'embrasser sous la pluie battante You like your girls insane Tu les aimes complètement folles So, choose your last words, this is the last time Alors, Choisis tes derniers mots, C'est la dernière fois 'Cause you and I, we were born to die Car toi et moi, nous sommes nés pour mourir We were born to die Nous sommes nés pour mourir We were born to die Nous sommes nés pour mourir We were born to die Nous sommes nés pour mourir
Bornto die (album): ★★☆☆☆ Ho già parlato della voce di Lana, per cui passo direttamente all'album. Contiene alcune canzoni veramente originali ed interessanti, altre però si perdono in quello che è lo stile del momento e nella banalità di parole e concetti già sentiti. Una particolarità di cui già mi avevano parlato di Lana Del Rey, è che le sue
Les Fous qui rêvent Menu En 2012, Lana del Rey sort Born to Die, un album dans lequel elle évoque la débauche, la drogue, l'argent, l'amour et son parcours. Dans Summertime Sadness par exemple, elle parle de son amie suicidée tout le monde dit qu'en réalité les paroles portent sur une histoire d'amour, mais je n'en suis pas si sure. Son clip est l'un de ses meilleurs, il montre la relation entre une fille suicidaire et sa meilleure amie. Il transcende toute la mélancolie qu'on peut ressentir à la perte d'un être cher et la tristesse de vivre tout simplement. On peut y voir de nombreuses références à la religion de Lana Dans Carmen elle raconte l'histoire d'une prostituée, avec un clip qui m'a fait pleurer plus d'une fois. National Anthem parle d'argent, de drogue et d'amour. Elle y joue Marilyn Monroe aux côtés de A$ap Rocky et de sa sœur Enfin Video Games parle de ses histoires d'amour, illustrées par un clip qu'elle a fait elle même, se servant de petites vidéos qu'elle avait trouvées sur youtube. L'un de ses meilleurs clips aussi. Et sa plus belle chanson. Les clips Born to die et Blue jean changent d'esthétiques, sont plus modernes. Je crois que leur histoire se suit, puisque le même acteur joue dedans et que le clip montre un amour fatal. Mais au niveau des paroles, Born to die parle de l'alcoolisme et si on remplace "you" par l'alcoolisme, la chanson prend un tout autre sens.
\n \n \n \n paroles born to die lana del rey
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Une nouvelle chanson de Lana Del Rey jusqu'alors méconnue du grand public vient de fuiter sur le net … Dans cette dernière, la chanteuse s'en prend directement à son ancienne amie Lady titre inédit de l'interprète de "Born to die" baptisée "So Legit" et qui pourrait dater de 2009 selon plusieurs médias américains, vient de faire surface sur le web. A travers les paroles de cette nouvelle chanson, on peut comprendre clairement que Lana Del Rey s'en prend à la superstar Lady Gaga et n'hésite pas à la tacler ouvertement. "Tu ressembles à un homme, tu parles comme un bébé. Qu'est-ce que fout ta chanson dans une pub Coca, c'est dingue ? Je ne comprends pas," chante Lana Del Rey avant de lancer un peu plus loin "Stefani, tu crains. Je sais que tu vends 20 millions. J'aimerais qu'ils aient pu te voir quand nous t'avons huée à Williamsburg. "Chérie tu n'es pas la numéro 1"La chanteuse de "Video Games"ajoute même "Tu m'as surnommée la reine de la scène, bébé. De quel putain de droit irais-tu changer ça, et ensuite me remplacer." Lana Del Rey conclue par "Oh ma fille, je te vois tourner en rond dans tes perles. Pensant que tu es la numéro 1. Tu es si drôle, parce que Chérie, tu ne l'es pas". Sympa l'ambiance … Alors s'agit-il vraiment d'une attaque ou plutôt d'un joli coup de pub de la part de Lana Del Rey ? Quoi qu'il en soit, Lady Gaga de son vrai nom Stefani Germanotta, n'a pour l'heure, pas jugé bon de répondre à sa rivale. Pensez-vous que la vengeance de la Mother Monster sera terrible ?

LanaDel Rey : Nouvel album . Après Honeymoon, Un buzz qui augure du meilleur pour l’album Born To Die qui sort en France le 30 janvier 2012 Après l’excellent Video Games, le clip de

Why? Who me? Why? Feet don’t fail me now Take me to the finish line Oh my heart it breaks every step that I take But I’m hoping at the gates, They’ll tell me that you’re mine Walking through the city streets Is it by mistake or design I feel so alone on the Friday nights Can you make it feel like home, if I tell you you’re mine? It's like I told you honey Don’t make me sad, don’t make me cry Sometimes love is not enough and the road gets tough I don’t know why Keep making me laugh Let’s go get high The road is long, we carry on Try to have fun in the meantime Come on take a walk on the wild side Let me kiss you hard in the pouring rain You like your girls insane Choose your last words, this is the last time Cause you and I, we were born to die Lost but now I am found I can see but once I was blind I was so confused as a little child Trying to take what I could get Scared that I couldn't find All the answers honey Don’t make me sad, don’t make me cry Sometimes love is not enough and the road gets tough I don’t know why Keep making me laugh Let's go get high The road is long, we carry on Try to have fun in the meantime Come on take a walk on the wild side Let me kiss you hard in the pouring rain You like your girls insane Choose your last words, This is the last time Cause you and I We were born to die [3x] Come on and take a walk on the wild side Let me kiss you hard in the pouring rain You like your girls insane Don’t make me sad, don’t make me cry Sometimes love is not enough and the road gets tough I don’t know why Keep making me laugh Let's go get high The road is long, we carry on Try to have fun in the meantime Come on take a walk on the wild side Let me kiss you hard in the pouring rain You like your girls insane... Choose your last words, This is the last time Cause you and I We were born to die Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM

Tracklistavec paroles de l'album BORN TO DIE [2012] de Lana Del Rey: Born to Die - Off To The Races - Blue Jeans - Video Games - Diet Mountain Dew -
AboutRadio also known as “Cinnamon” is a song written by Del Rey and Justin Parker. Talking about the song in an interview in 2012, Lana said People always said oh well people will come out of the woodwork and change their mind about you, they’ll start to like you because you’re on the radio’ and it is true, but I don’t mind, cause I’d rather have people be nice to me, so I liked it. I don’t really care why people are nice to me, I just like it when it’s easier. Del Rey went on to explain when she wrote Radio by stating that she wrote it when a guy she used to know came back into her life, so I was like now my life is sweet like cinnamon, cause he came us a question about this songWhat have the artists said about the song?People always said oh well people will come out of the woodwork and change their mind about you, they’ll start to like you because you’re on the radio’ and it is true, but I don’t mind, cause I’d rather have people be nice to me, so I liked it. I don’t really care why people are nice to me, I just like it when it’s was the song created?According to Songfacts, Lana Del Rey explained to The Sun With the track “Radio,” Justin just held down long keys. Sometimes what I ask my producers to do is just hold down long extended, melancholic notes and I end up just freestyling over them.
Aprèslecture des paroles, la chanson semble avoir été écrite avant que Lana Del Rey ne surfe sur le succès de Born to Die: «Tu m'as nommée reine de la scène indépendante, bébé. Comment
01 Born To Die Lana Del Rey Born To Die 0446 Compositeurs Lana Del Rey - Justin Parker 02 Off To The Races Lana Del Rey Born To Die 0459 Compositeurs Tim Larcombe - Lana Del Rey 03 Blue Jeans Lana Del Rey Born To Die 0329 Compositeurs Emile Haynie - Lana Del Rey - Dan Heath 04 Video Games Lana Del Rey Born To Die 0441 Compositeurs Elizabeth Grant - Justin Parker 05 Diet Mountain Dew Lana Del Rey Born To Die 0342 Compositeurs Lana Del Rey - Mike Daly 06 National Anthem Lana Del Rey Born To Die 0350 Compositeurs Lana Del Rey - The Nexus - Justin Parker 07 Dark Paradise Lana Del Rey Born To Die 0403 Compositeurs Lana Del Rey - Rick Nowels 08 Radio Lana Del Rey Born To Die 0334 Compositeurs Lana Del Rey - Justin Parker 09 Carmen Lana Del Rey Born To Die 0408 Compositeurs Lana Del Rey - Justin Parker 10 Million Dollar Man Lana Del Rey Born To Die 0351 Compositeurs Chris Braide - Lana Del Rey 11 Summertime Sadness Lana Del Rey Born To Die 0425 Compositeurs Rick Nowels - Elizabeth Grant 12 This Is What Makes Us Girls Lana Del Rey Born To Die 0400 Compositeurs Lana Del Rey - Tim Larcombe - Jim Irvin
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