Levent tournait. Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes. Un acquis pouvait voler en éclats. Un principe en lambeaux. Je voyais celle Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes.
Bulletin dominical du 6 juillet 201414Ăšme dimanche du Temps de l'AnnĂ©e liturgique – A – Venez Ă  moi, vous tous qui peinez...Matthieu 11, 28 – Evangile... sous le poids du fardeau, et moi je vous procurerai le repos. Bien qu'il s'agissait, dans le contexte, du fardeau de la Loi et des prĂ©ceptes mosaĂŻques, on peut entendre, dans la Loi nouvelle, le fardeau des peines physiques et morales qui peuvent nous accabler. Et la premiĂšre chose Ă  faire, ce n'est pas de se plaindre en faisant porter aux autres ses souffrances, de chercher chez les autres rĂ©confort et guĂ©rison mĂȘme s'il est lĂ©gitime de le faire, mais de se tourner, d'abord et en premier lieu, vers Dieu qui comprend tout et qui nous aime. La recommandation du Seigneur est claire il s'agit d'abord, non pas, immĂ©diatement, de chercher Ă  ĂȘtre dĂ©barrassĂ© de ses fardeaux, mais de prendre sur nous notre joug – notre ou nos charges – de les accepter, de les offrir Ă  l'image du Christ qui est entrĂ© librement dans sa Passion rĂ©demptrice, en devenant ses disciples v. 29. Alors, son joug – les peines physiques et/ou morales qu'Il permet - sera facile Ă  porter et son fardeau, lĂ©ger v. 30. Dans le cas contraire, mĂȘme avec la foi, nous nous dĂ©battons, nous nous faisons mal Ă  nous-mĂȘmes, nous faisons du mal aux autres, nous accusons, nous nous rĂ©voltons, nous sommes injustes. LĂ  encore, on voit que la foi, mĂȘme grande, ne suffit pas, que c'est la charitĂ© qui est nĂ©cessaire, c'est-Ă -dire l'amour de Dieu et du prochain, le pardon des injures, l'union Ă  la croix de vous trouverez le repos pour votre Ăąme v. 29, cf. JĂ©rĂ©mie 6, 16.Cette charitĂ©, cette union Ă  Dieu, viennent de l'Esprit qui habite en nous Saint Paul aux chrĂ©tiens de Rome, Rm 8, 9 – IIĂšme lecture. Et nos rĂ©voltes, notre refus des souffrances –refus absolu dans la sociĂ©tĂ© contemporaine-viennent de ce que nous sommes trop ou totalement sous l'emprise de la chair, alors que nous devrions ĂȘtre sous l'emprise de l'Esprit v. 8. L'emprise de la chair mĂšne au pĂ©chĂ©, de l'esprit ou du corps, et Ă  la mort. Physique quand elle est provoquĂ©e par l'alcool, le tabac fumer tue par exemple, la fornication et les relations homosexuelles par les maladies transmissibles; et morale le pĂ©chĂ© mortel, comme il est dit, est mortel. Au dĂ©but du chapitre, nous lisons La loi de l'Esprit qui donne la vie dans le Christ JĂ©sus nous libĂšre de la loi du pĂ©chĂ© et de la mort. Dieu a envoyĂ© son Fils dans une condition charnelle... pour vaincre le pĂ©chĂ© vv. 2-3.Ce qui compte dans l'acceptation des souffrances, du fardeau, c'est l'humilitĂ©. Car c'est par orgueil que nous pĂ©chons, que nous nous rĂ©voltons, que nous versons sur nos plaies le sel de nos plaintes. En devenant les disciples du Christ, notre cƓur deviendra semblable au sien, car il est doux et humble de cƓur Mt 11, 30.Et qu'Il se rĂ©vĂšle, qu'Il se donne aux tout-petits et se refuse aux sages – selon le monde– et aux savants v. 25Faisons nĂŽtre la priĂšre de la Collecte Ô Dieu qui avez relevĂ© le monde par les abaissements de votre Fils, donnez Ă  vos fidĂšles une joie sainte vous les avez tirĂ©s de l'esclavage du pĂ©chĂ©; faites-leur connaĂźtre le bonheur impĂ©rissable. Par JĂ©sus...AbbĂ© Christian Mt 11, 25 La traduction liturgique actuelle et la nouvelle traduisent par je proclame ta louange. Les Bibles Osty/Trinquet synopse, Crampon et de JĂ©rusalem traduisent par Je te bĂ©nis. Devantcette faiblesse de l’homme, JĂ©sus nous lance son appel : « Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau. » La souffrance peut ĂȘtre un chemin vers Dieu. Victor Hugo Ă©crit dans Les MisĂ©rables : « La pupille se dilate dans la nuit et finit par y trouver du jour, de mĂȘme que l’ñme se dilate dans le malheur et PubliĂ© le 29 avril 2020Mercredi, 3e Semaine du Temps PascalHomĂ©lie du PĂšre Alexandre de Bucy[button link= »lecture » class= »abcd »]Lire l’Évangile[/button] Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ».Ces paroles de JĂ©sus, je les prononce souvent ces aprĂšs-midi, j’étais Ă  l’hĂŽpital d’Argenteuil, au chevet de malades du COVID-19, qui dĂ©siraient recevoir le sacrement des malades. RevĂȘtu d’une blouse, d’un tablier, d’une charlotte, de lunettes protectrices, de gants, je ne pouvais emporter avec moi que l’huile des malades et des photocopies de la priĂšre d’onction, Ă  jeter en quittant chaque chambre. En prĂ©sence des malades, ce sont ces paroles qui me sont venues Ă  la bouche. Les mains vides, je ne pouvais donner que ce que le Seigneur me confiait son huile, signe de sa force contre le mal, et ces paroles, tĂ©moins de sa paix. J’ai vu de mes yeux combien le Seigneur apaisait aprĂšs-midi, j’étais Ă  l’église de St-Gratien, pour les obsĂšques de M. Jean-Claude Anne, la 48e cĂ©lĂ©bration d’obsĂšques sur notre groupement paroissial, depuis le dĂ©but du confinement le 15 mars dernier. Et ce sont ces paroles que nous avons Ă©coutĂ© avec ses amis au moment oĂč nous disions adieu Ă  cet homme qui a connu tant d’ jour, Ă  moi-mĂȘme et Ă  ceux et celles qui sont parfois Ă©puisĂ© par le confinement, l’isolement, la culpabilitĂ©, l’inquiĂ©tude du lendemain, le poids de la vie, la charge des enfants, les conditions de travail pour certains, ou l’incertitude sur la reprise du travail pour d’autres, je redis souvent ces mĂȘmes ces paroles, dĂ©posons nos fardeaux devant Dieu et accueillons la paix profonde du cƓur que Dieu nous donne. Prenez sur vous mon joug, 
, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger ». En commentant ce texte, saint Augustin voit dans ce joug, facile Ă  porter et lĂ©ger, le bras du pĂšre prodigue qui se pose sur l’épaule du fils qui a dilapidĂ© tout son hĂ©ritage, une main qui pardonne, qui relĂšve, et qui invite Ă  la joie du festin. Cette main de Dieu renouvelle en profondeur la paix dans nos cƓurs. C’est aussi la main des soignants qui prennent soin et guĂ©rissent, la main de nos proches qui consolent et expriment leur amour, la main de tous les travailleurs qui bĂątissent et dĂ©veloppent un monde pour tous, la main des Ă©ducateurs, qui montrent la bonne route et encouragent, la main des prĂȘtres, qui bĂ©nissent et donnent le les gestes barriĂšres, il n’est plus possible de poser sa main sur l’épaule de ceux qui nous entourent. Mais il est encore possible de bĂ©nir, de dire du bien de nos proches. Je vous invite tout au long de cette journĂ©e Ă  bĂ©nir ceux que vous croisez, ceux avec qui vous vivez, et Ă  faire grandir en eux la confiance, Ă  allĂ©ger leurs !Évangile de JĂ©sus-Christ selon saint Matthieu Mt 11, 25-30[button link= »homelie » class= »abcd »]Retour Ă  l’homĂ©lie[/button]En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit PĂšre, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as cachĂ© aux sages et aux savants, tu l’as rĂ©vĂ©lĂ© aux PĂšre, tu l’as voulu ainsi dans ta m’a Ă©tĂ© remis par mon PĂšre ; personne ne connaĂźt le Fils, sinon le PĂšre, et personne ne connaĂźt le PĂšre, sinon le Fils, et celui Ă  qui le Fils veut le rĂ©vĂ©ler. Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. »Source de lecture... VenezĂ  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai.» Mt 11(28). Seigneur, tu vois tes enfants ici rassemblĂ©s, Ă©tends ta main, libĂšre nous du poids du pĂ©chĂ©, fais descendre sur nous ta compassion, fais descendre sur nous ta misĂ©ricorde. Ô PĂšre, dans le Nom de JĂ©sus, que ton Sang descende maintenant sur nous,
Venez Ă  moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous procurerai le repos» [ I ] Que voilĂ  une bonne nouvelle. Nous avons tant de chose Ă  porter le poids de notre travail, de nos responsabilitĂ©s, de nos inquiĂ©tudes pour nous-mĂȘmes ou nos proches. A quoi peut s’ajouter aussi fardeau de l’ñge, de la santĂ©, ou qui sait, le tiraillement de ces veilles blessures qui ne sont toujours pas refermĂ©es. Il y a des moments, comme on dit, oĂč on en a vraiment plein le dos». Quelle bonne chose que JĂ©sus se propose de nous en dĂ©livrer! Mais JĂ©sus ajoute aussitĂŽt Chargez-vous de mon joug!» Quoi!! Nous charger de ton joug? C’est comme cela que tu prĂ©tends nous soulager? Nous devons dĂ©jĂ  porter tant de choses, et il faudrait en plus de tout cela ton joug? Et puis, on voit d’ici Ă  quoi il ressemble ton joug ne serait-il pas du genre poutre horizontale coupĂ©e d’une traverse verticale, le genre cruciforme? TrĂšs peu pour nous. Le soulagement, oui, mais le joug non! [ II ] Illusion de croire que l’on peut vivre sans porter le joug! Car nul ne peut tracer le sillon de son existence Ă  moins de tirer derriĂšre lui sa charrue, et nul ne peut tirer sa charrue si elle n’est attelĂ©e Ă  un joug. Ici quelques prĂ©cisions techniques s’imposent au sujet de ce qu’on appelle prĂ©cisĂ©ment un joug. Une chose est un joug, autre chose un fardeau. Pesante la charrue, et lourde la terre que le bƓuf doit retourner. Si l’on ne veut pas qu’il Ă©puise inutilement son Ă©nergie, la charrue doit ĂȘtre reliĂ©e Ă  la partie la plus vigoureuse de l’animal. Supposons par ex. que l’on ait la mauvaise idĂ©e de relier la charrue Ă  son pied, il se casserait; si on la reliait Ă  sa gorge, la pauvre bĂȘte s’étranglerait. C’est pourquoi dans leur grande ingĂ©niositĂ©, les paysans ont inventĂ© justement le joug cette piĂšce d’attelage que l’on fixe sur la partie la plus vigoureuse du bƓuf sa tĂȘte. Or notez bien ceci si la charrue est lourde, de soi le joug ne l’est pas particuliĂšrement. Toute la fonction du joug au contraire est de permettre au bƓuf de tirer la charrue sans se fatiguer inutilement. Eh bien ce problĂšme que les paysans ont rĂ©solu par l’invention du joug, chaque homme doit le rĂ©soudre pour lui-mĂȘme. Tous nous avons des charges Ă  tirer la charge d’une Ɠuvre difficile Ă  accomplir; la charge de la fidĂ©litĂ© Ă  nos engagements; les charges de nos tĂąches quotidiennes, parfois usantes dans leur monotonie; la charge de l’épreuve Ă  affronter; la charges des soucis qui nous obsĂšdent toutes choses que nous sommes bien obligĂ©s de tirer si nous voulons continuer Ă  avancer dans la vie en creusant notre sillon. Autrement dit, pour chacun de nous se pose un problĂšme d’ergonomie que l’on peut formuler ainsi sur quel point de notre ĂȘtre fixer le joug pour ne pas nous Ă©puiser Ă  la tĂąche en dĂ©pensant inutilement notre Ă©nergie? Ou, pour dire les choses autrement, dans quel but devons nous fournir nos efforts? En vue de quoi supportons-nous ce que nous supportons? L’ĂȘtre humain a essayĂ© de rĂ©soudre ce problĂšme d’ergonomie de plusieurs façons – Les uns n’agissent qu’en vertu de leurs impulsions immĂ©diates, de leurs envies, de leurs plaisirs au fur et Ă  mesure qu’ils se prĂ©sentent. Ceux lĂ  apparemment, ignorent les servitudes du joug. Mais en rĂ©alitĂ© le plaisir finit tĂŽt ou tard par s’avĂ©rer tyrannique, non seulement pour les autres mais pour eux-mĂȘmes. Et vient fatalement le jour on l’on constate qu’on n’a rien construit de durable, qu’on n’a fait de valable dans sa vie. – Pour d’autres, le joug consiste Ă  agir pour se prouver Ă  soi-mĂȘme ou pour montrer aux autres qu’on est fort, qu’on est quelqu’un de bien, qu’on est mieux que les autres. De dĂ©fi en dĂ©fi on peut ainsi mener fort loin sa charrue et accomplir des exploits. Mais vient fatalement le jour oĂč l’épreuve plus forte que nous, finit par briser le joug de l’orgueil. Alors comme une bĂȘte de somme Ă©puisĂ©e, on s’effondre lourdement sur le sol. Le dĂ©sespoir. – Pour les autres, le joug est le sens du devoir. Loin de moi l’idĂ©e de mĂ©dire du devoir, mais si le sens du devoir est le seul motif qui nous fait avancer, on finit par s’aigrir et se dessĂ©cher complĂštement. [ III ] Prenez mon joug, mettez-vous Ă  mon Ă©cole car je suis doux et humble de cƓur» JĂ©sus ne dit pas qu’il est venu nous dĂ©charger de tout fardeau. Comme tous les autres, le chrĂ©tien doit tirer le poids de ses responsabilitĂ©s, de ses soucis, de ses Ă©preuves, de ses Ă©checs. Et puis, il faut bien le reconnaĂźtre que le chrĂ©tien doit tirer des fardeaux de surcroĂźt qu’ignorent les autres hommes. Nous le savons bien l’Évangile nous commande la fidĂ©litĂ© au Christ, le pardon des offenses, l’amour du prochain et mĂȘme l’amour des ennemis, toutes choses qui peuvent s’avĂ©rer particuliĂšrement pesantes. Seulement ce qui peut donner la force de porter tout cela, le joug qui nous permet de tirer de si lourdes charges n’est autre que l’amour pour le Christ. Tout entreprendre, tout supporter par amour pour JĂ©sus, doux et humble de cƓur tel est le joug qui peut rendre tout fardeau lĂ©ger. Nous le savons d’expĂ©rience quand on aime vraiment quelqu’un, on est prĂȘt Ă  tout faire pour lui. De quels exploits surhumains, de quelles folies invraisemblables est capable l’amoureux! L’amour rend la vie plus lĂ©gĂšre, car l’amour dissout la pesanteur de nos Ă©goĂŻsmes, il relativise les difficultĂ©s qui paraissaient autrefois insurmontables, il permet de traverser victorieusement les Ă©preuves; et tout cela l’amour le rĂ©alise parce qu’il nous fait vivre et agir pour la personne que l’on aime. Mais le prodige le plus Ă©tonnant de l’amour, c’est qu’il pousse l’amoureux Ă  se charger lui-mĂȘme du fardeau de l’ĂȘtre aimĂ©. Et c’est ainsi que Dieu, follement Ă©pris de sa crĂ©ature, en est venu Ă  prendre chair pour porter avec nous le fardeau de notre humanitĂ©. DĂšs lors qu’on s’applique Ă  mĂ©diter sur le fol amour qui a conduit Dieu Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, comment ne pas ĂȘtre remuĂ© jusqu’aux entrailles par la douceur et l’humilitĂ© du Verbe fait chair? Comment ne pas dĂ©sirer prendre sur nos Ă©paules le joug de son amour? Aimer allĂšge toute nos charge, mais ĂȘtre aimĂ© Ă  ce point donne des ailes. Au lieu de peser sur nos Ă©paules, c’est comme si ce joug nous saisissant par les Ă©paules soustrayait l’ñme aux pesanteurs de la terre la tirait vers le ciel. Certes, cette terre nous ne la quittons pas, et le fardeau, il nous faut toujours le tirer. Mais on sait alors que JĂ©sus en personne le tire avec nous, et cela change tout. Trop beau pour ĂȘtre vrai? Alors une simple question comment cette femme dont on parle beaucoup en ce moment a-t-elle pu supporter le poids de 6 ans de captivitĂ©, 6 ans de brimades, de menaces, d’angoisse, au fin fond de cette forĂȘt de Colombie, et cela sans jamais cĂ©der Ă  la haine, sans rien perdre de cette dignitĂ© que nous avons pu voir l’autre jour sur son visage? Le joug qui lui a permis de porter tout cela, vous en avez tous vu des signes multiples ce chapelet autour de son poignet, ce chapelet qu’elle a confectionnĂ© elle-mĂȘme grain par grain. Le signe de ce joug, vous l’avez vu aussi lorsque sitĂŽt arrivĂ©e Ă  l’aĂ©roport, avant toute parole, elle a tracĂ© le signe de la croix.
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Cetarticle : Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau. par Pierre Descouvemont BrochĂ© . 17,90 € Il ne reste plus que 10 exemplaire(s) en stock (d'autres exemplaires sont en cours d'acheminement). ExpĂ©diĂ© et vendu par Amazon. Recevez-le mardi 2 aoĂ»t. La joie de consoler JĂ©sus. par Pierre Descouvemont BrochĂ© . 14,00 € Il ne
51 Commentaires J’essaye dĂ©sespĂ©rĂ©ment de trouver un recueil qui contient la Messe de la TrinitĂ© de JB Du Jonchay pourriez-vous m’indiquer oĂč je peux le trouver ? Merci J’ai bien l’impression que cette Ɠuvre n’est pas Ă©ditĂ©e. Avez-vous posĂ© la question aux Ă©ditions du Carmel ? Bonjour, si vous cherchez toujours les partitions de la Messe de la TrinitĂ©, du FrĂšre Jean Baptiste, je suis en mesure de vous les transmettre par mail. A. CLERC Allez sur Ed du Carmel recueil Dieu seul est Saint ! » ou Ă  la Fnac ce sont les partitions de JB du Jonchay A la partition peut-ĂȘtr sur le site Exultet Bonjour, pourras-tu me faire parvenir la messe de la TrinitĂ© du FrĂšre Jean-Baptiste. Mon mail patrickahouangonou Cordialement. Patrick AHOUANGONOU moi aussi je cherche partitions et CD de cette messe et n’obtiens aucun rĂ©sultat vraiment valables !y a t-il un espoir qu’un jour elle soit Ă©ditĂ©e ?? Bonjour, si vous cherchez toujours ces partitions, je suis en mesure de vous les transmettre par e-mail. A. CLERC Bonjour, Avez-vous encore en votre possession les partitions de la messe de la TrinitĂ© du FrĂšre Jean-Baptiste du Jonchay ? Si oui, accepteriez-vous de me les envoyer ? MERCI de votre rĂ©ponse. Bonjour A. CLERC. Je suis Ă  la recherche de la partition complĂšte de la Messe de la TrinitĂ©. Mais apparemment, aucun site Exsultet, Chantons Eglise, Edition sud Carmel
 n’a cette messe Ă  sn catalogue
??? Savez-vous oĂč j peux l’acheter ? Merci. BERLAND. Bonjour, je recherche sans succĂšs les partitions du chant Adoro Te Devote du FrĂšre JB du Jonchay. Si l’un des lecteurs de ce message les possĂšde, je suis super preneur !! Merci ! Bonjour, je n’ai trouvĂ© ce chant dans aucun des recueils Ă©ditĂ©s par les Ă©ditions du Carmel. Salutation 🙂 Bonjour je cherche la partition de Rejouis-toi, eglise notre vous dans quel recueil je peux la trouver? Merci! Bonjour, Je n’ai pas trouvĂ© ce chant dans les 4 recueils. Bonne journĂ©e 🙂 Bonjour Ă  tous. Bonne nouvelle, un certain nombre de partitions du Fr. Jean-Baptiste existent Ă©galement en version numĂ©risĂ©e en tĂ©lĂ©chargement lĂ©gal et payant sur eXultet. RĂ©cemment de nombreuses messes ont Ă©tĂ© ajoutĂ©es, notamment la messe de la TrinitĂ© Voir ici Cordialement. GaĂ«tan bonjour je cherche la partition du fr jean baptiste O pere infiniment bon » mais je ne la trouve pas. je serai reconnaissante si qlq un peut m’aider. merci bien et bonne journee bonjour Myriam aprĂšs recherche dans nos recueil, nous ne l’avons pas trouvĂ© donc je suis curieux de savoir aussi Bonjour, Merci pour votre site et les partitions trĂšs utiles. J’aime beaucoup votre interprĂ©tation et harmonisation, accompagnĂ©e Ă  la guitare, de Seigneur Tu es ma force » la voix homme » est-elle improvisĂ©e ? J’ai de la peine Ă  trouver cette voix sur la partition originale. Bien fraternellement. A. CLERC Bonjour, Je vous remercie pour vos remerciements. Pour rĂ©pondre Ă  votre question Ă  mon souvenir c’est la partie tĂ©nor dans la partition. Fraternellement aussi. Alexandre R/ Ô PĂšre infiniment bon, reçois notre vie maintenant, nous la dĂ©posons humblement dans l’offrande de JĂ©sus ton Fils Bien –AimĂ© Tu es bĂ©ni, Dieu de l’univers, nous te prĂ©sentons ce pain que nous tenons de ta bontĂ©. Il deviendra le Corps de jĂ©sus notre Sauveur en qui nous sommes transformĂ©s R/ Tu es bĂ©ni, Dieu de l’univers, nous te prĂ©sentons ce vin que nous tenons de ta bontĂ©. Il deviendra le Sang de jĂ©sus notre Sauveur en qui nous sommes pardonnĂ©s R/ Bonjour, Je suis dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  la recherche d’une partition de FrĂšre Jean-Baptiste du Jonchay. RĂšgne Ă  jamais, que j’ai trouvĂ© interprĂ©tĂ© par la Chorale Anima de Rouen sur Youtube. J’ai suivi votre lien, mais malheureusement je ne l’ai pas trouvĂ©. Savez-vous ou je pourrais me la procurer ? Je dois cĂ©lĂ©brer un mariage, le 15 aoĂ»t de cette annĂ©e, et les mariĂ©s le voulait pour leur cĂ©lĂ©bration. Merci d’avance pour toute rĂ©ponse de votre part. Bonjour, je ne veux pas vous crĂ©er une fausse joie je n’ai pas la partition de RĂšgne Ă  jamais ». J’espĂšre qu’avec ou sans, vous avez pu offrir une belle messe de mariage Ă  vos amis. Et au cas oĂč vous auriez finalement rĂ©ussi Ă  trouver ce chant que j’aime beaucoup, j’avais l’espoir que peut-ĂȘtre, vous pourriez me le partager ?? C’est rare d’avoir autant de mal Ă  se procurer une partition ! En tout cas, merci de toute façon ! MBĂ© Ah mais moi je l’ai! C’est quelqu’un de ce sit qui me l’a aimablement faite avec l’aide de puis-je faire pour vous la transmettre? Voici mon adresse mail envoyez-moi un mail et je vous l’enverrai sur le champ. Cordialement Je l’ai! il suffit de me dire comment vous la transmettre. Mon mail est dans le commentaire en dessous. Je suis exactement dans la mĂȘme situation! Je cherche partout la partition de RĂšgne Ă  jamais » sans succĂšs! Merci d’avance pour votre aide. Bonjour, je suis Ă  la recherche de la partition de » Ô pĂšre infiniment bon » de Jean-Baptiste du Jonchay . Pouvez-vous m’aider. Cordialement. Pascaline Bonjour Nous cherchons la partition de Je vous salue Joseph quelqu’un aurait-il la possibilitĂ© de nous l’envoyer par mail ? Merci Je ne retrouve pas la mĂ©lodie 
 on dirait un autre Si c’est cet air lĂ , apparemment il faudrait demander la partition ici prionssaintjoseph Si la partition vous intĂ©resse toujours je l’avais demandĂ©e Ă  cette adresse et je viens de la recevoir. Il faudrait donc m’indiquer comment vous la faire parvenir? bonjour oui je veux bien merci, pas scan ou photo lme merci beaucoup ! en fait c’est celui-lĂ  Ah donc ce n’est toujours pas la partition que j’ai reçue! DĂ©solĂ©e! Je continuerai de chercher au cas oĂč
 Bonjour , je cherche la partition de Vous tous qui peinez sous le fardeau » de frĂšre JB du Jonchay . C’est un trĂšs beau chant pour le CarĂȘme . J’ai contactĂ© les Ă©ditions du Carmel mais ils m’ont dit qu’ils n’éditaient plus ses partitions . Elle n’est pas sur Exultet . Merci beaucoup Marie Bonjour Marie je regarderai dans nos partitions dĂšs que possible et vous Ă©crirai. Merci pour ce site ! Vous ne proposez pas votre partition 4 voix du chant goutez et voyez » ? Par ailleurs, j’ai la mĂȘme recherche que Marie concernant Vous tous qui peinez
 » du fr. JB du J. Pensez Ă  moi, je vous serai trĂšs reconnaissante ! je penserai Ă  vous oui ; pour le goutez et voyez Ă  mon souvenir la partition n’est pas libre de droit Oui je l’avais trouvĂ©e aussi malheureusement il faut s’abonnerpour 30€ on ne peut pas acheter juste une partition comme sur exultet par exemple Bonjour Animateur sur la paroisse du Bouscat en Gironde, je souhaiterais trouver la partition de Le Christ est victorieux, il rĂšgne Ă  jamais. Ce ne serait pas un problĂšme de les payer. Merci de votre retour Je l’ai. Je vous l’envoie comment? Bonjour, je suis Ă  recherche de la partition de Je vous salue, Joseph » du FrĂšre Jean-Baptiste du Jonchay
 Je ne la trouve nulle part, mĂȘme en payant ! Si quelqu’un pouvait me dire oĂč la trouver apparement, les Ă©ditions du Carmel n’éditent plus le FrĂšre JB ! Merci d’avance et bonne journĂ©e ! Moi aussi je la cherche depuis un moment help ! Nous aussi nous la recherchons si vous la trouvez faites nous un signe Ah pardon! Je parlais de RĂšgne Ă  jamais et de vous tous qui peinez sous le fardeau. Mon mail est au dessus. Bonjour je cherche la partition pange lingua » du frĂšre jean-Baptiste. Quelqu’un pourrait-il me donner le nom d’ un site sur lequel la trouver? Merci beaucoup bonjour je cherche la partition de ĂŽ PĂšre infiniment bon » du frĂšre JB Ecrire un commentaire Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur la façon dont les donnĂ©es de vos commentaires sont traitĂ©es.
VenezĂ  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. TĂ©lĂ©charger en PDF . Lectionnaire obsĂšques. 1Ăšre Lectures. 1 Romains 14, [V1] Vous qui ployez sous le fardeau Vous qui cherchez le vrai repos [C] Ne craignez pas pour votre corps Ne craignez pas devant la mort Levez les yeux vers le Seigneur Criez vers lui sans perdre coeur [V2] Vous qui tombez sur le chemin Le coeur blessĂ© par les chagrins [V3] Vous qui pleurez dans vos prisons Vous qui fuyez votre maison Note importante Ces fichiers sont Ă  utiliser uniquement dans le cadre privĂ©. Pour tout usage public Ă©glise / organisation / Ă©vĂ©nement / groupe, merci de bien vouloir vous rapprocher de la LTC pour le paiement des droits des chants gĂ©rĂ©s par la LTC inclut l’ensemble des Ɠuvres des recueils connus et bien d’autres, et vous rapprocher des auteurs directement pour les autres. Souscrire Ă  une licence LTC Contacter la LTC sur contact Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! Jeudi16 juillet 2020. Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau Guillaume de Saint Thierry (vers 1075-1148). Moine bĂ©nĂ©dictin puis cistercien, ami de saint Bernard, Guillaume a laissĂ© une quinzaine d’ouvrages, dont la cĂ©lĂšbre “ Lettre d’or ”, adressĂ©e aux Chartreux du Mont-Dieu, et des “ MĂ©ditations ”, qui, sous forme de priĂšres, nous font Matthieu 11, 28-30 En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » Venez Ă  moi » une parole libre, ouverte qui respecte la libertĂ© de l’autre
 et seulement aprĂšs vient la promesse respectueuse et moi, je vous procurerai le repos ». Et lĂ  encore, un profond respect de la libertĂ© de l’autre, le Seigneur ne va pas donner, mais il va aider Ă  ce que l’autre trouve
 Et c’est logique, puisque les personnes auxquelles il s’adresse sont celles qui peinent sous le fardeau
 mais cette venue Ă  lui Ă  quoi conduit-elle ? À quelle demande, Ă  quel commandement de sa part ? Prenez sur vous mon joug » VoilĂ  donc le commandement de la part de JĂ©sus prendre son joug, un mot Ă  bien entendre, le joug sert surtout Ă  orienter l’effort, et Ă  lui donner de pouvoir ĂȘtre efficace, la force musculaire de l’animal peut ĂȘtre mieux mobilisĂ© et l’effort est mieux orientĂ©, il permet souvent de pouvoir associer l’effort de deux animaux de traits. Il n’est pas donc de lui-mĂȘme signe d’asservissement. Il est plutĂŽt signe d’efficacitĂ© et d’économie d’effort
 Il a Ă©tĂ© rendu, Ă  vrai dire, signe d’asservissement par la volontĂ© du vainqueur. Prendre le joug du Seigneur, c’est suivre sa direction, c’est bien devenir son disciple, un disciple qui marche Ă  la suite de son maĂźtre qui lui-mĂȘme est en marche
 nous avons dĂ©jĂ  une indication de ce qu’il va dire pour justifier son commandement ou bien peut-ĂȘtre plus justement sa simple proposition
 Je suis doux et humble de cƓur» dans son commandement, dans sa proposition, JĂ©sus se dĂ©clare doux et humble de cƓur
 cette qualitĂ© du Seigneur le rend capable de vivre l’échange sereinement avec l’autre, de pouvoir articuler justement et la demande et le don. Pourquoi cela ? Parce que le Seigneur est ancrĂ© pleinement sur la source de la Vie son PĂšre, il reçoit pleinement ce qui lui est donnĂ©, Celui qui se donne Ă  Lui, et de ce don reçu il est capable de rendre, de se rendre lui-mĂȘme en retour, cet Ă©change est la source en lui de la douceur et de l’humilitĂ© qui lui donne de s’adresser justement aux autres, Ă  n’importe quel autre. Son joug conduit chacun de nous en toutes nos circonstances vers cette relation fondamentale recevoir Celui qui donne et qui se donne en tout, pour pouvoir se rendre soi-mĂȘme Ă  Lui pleinement. Vivant nous-mĂȘmes de cet Ă©change, nous pouvons alors vivre justement l’échange avec tous nos frĂšres, toutes nos sƓurs
PĂšre Jean-Luc Fabre[Source image Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » MĂ©ditation PĂšre Emmanuel Payen « Devenez mes disciples »
» Et moi, je vous procurerai le repos. » Dans une priĂšre adressĂ©e au Seigneur, nous affirmons que notre secours est dans le Nom du Seigneur, Lui qui a fait le Ciel et la terre. Nous comptons sur Dieu pour cheminer. Seul, il peut nous apporter son Secours. Dans l’Évangile, il rĂ©affirme Sa disponibilitĂ© pour nous aider. Il dit » Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le repos qui vient de Dieu n’est pas une sorte de quiĂ©tisme inactif. Il y a, dans certaines religions, cette thĂšse de l’extinction des sens. Le sujet devient donc insensible Ă  tout. Dieu n’enlĂšve rien Ă  notre humanitĂ©. Il nous donne un repos qui est cette paix intĂ©rieure dont l’évĂšnement n’est pas tributaire de circonstances extĂ©rieures. » Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le poids du fardeau, c’est tous ces soucis du moment que nous portons la gestion sans y intĂ©grer Dieu. Seul, on ne pourra pas y arriver. Nous avons besoin du Secours de Dieu qui vient en aide Ă  notre petitesse. Le poids du fardeau, c’est aussi refuser d’admettre cette petitesse. Pour aller vers le Seigneur et implorer son secours, il y a prĂ©alablement lieu d’envisager que nous ne sommes vulnĂ©rables. Alors, on rĂ©pond Ă  son appel, le dĂ©but de l’expĂ©rience de la foi. » Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le Seigneur nous donne la grĂące du repos intĂ©rieur. PĂšre Serge Martin Ainadou
ÉvangileMatthieu (11, 28-30) En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit : « Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter
En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » "Vous qui peinez et qui ĂȘtes surchargĂ©s"...JĂ©sus, en disant cela, s'adressait en premier lieu Ă  tous ceux qui Ă©taient Ă©crasĂ©s et blessĂ©s par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, Ă  tous ceux qui pliaient sous le poids des Ă©preuves. Et lĂ , chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellĂ©. Car les Ă©preuves sont notre lot Ă  tous, au moins Ă  certaines heures ou Ă  certains tournants de la vie Epreuves de santĂ©, Ă©preuves de famille, Ă©preuves dans la rĂ©alisation de les personnes au caractĂšre le plus heureux ou le mieux trempĂ© peuvent se sentir un moment Ă©crasĂ©s par l'Ă©preuve ; et quand les soucis s'accumulent, elles accusent le coup, car le malheur leur semble sans issue."Venez Ă  moi, dit JĂ©sus, vous qui pliez sous le poids de la souffrance, vous qui pleurez un ĂȘtre cher, car je viens habiter votre Ă  moi, vous qui ĂȘtes las de vous donner et de vous oublier, car avec moi cette mort sera fĂ©con­ vous qui peinez au dĂ©sert de la foi, car ma parole le fera Ă  moi, vous que la haine a chassĂ©s de votre pays, de votre maison ou des horizons de votre enfance, car avec moi vous serez dans le pays de Ă  moi, vous qui pleurez de ne pouvoir pardonner, car je suis doux et humble de Ă  moi, et moi, je vous ferai reposer."Mais comment JĂ©sus s'y prend-il, et quel ce repos qu'il nous promet ? Est-ce que le Seigneur enlĂšve d'un seul coup de nos Ă©paules toutes les charges et tous les jougs ?Non la plupart du temps nos fardeaux restent en place, mĂȘme si parfois Dieu exauce nos priĂšres de maniĂšre inattendue. Le plus souvent les fardeaux ne changent pas c'est nous qui changeons sous le fardeau, Ă  partir du moment oĂč nous l'assumons comme le fardeau que JĂ©sus nous demande de porter, et Ă  partir du moment oĂč, Ă  l'Ă©cole de JĂ©sus, nous reprenons un chemin d'humilitĂ© et de souvent c'est la rĂ©volte et l'agressivitĂ© qui nous ĂŽtent toute force intĂ©rieure. Ce qui nous paralyse, c'est de deviner ou d'imaginer, derriĂšre les Ă©preuves, telle ou telle rĂ©action trop humaine, telle ou telle incomprĂ©hension ou animositĂ©, telle ou telle injustice, telle ou telle volontĂ© de nous barrer la qui nous fait chavirer dans notre espĂ©rance, c'est d'interprĂ©ter nos souffrances comme un rejet de Dieu ou comme une absence de son l'Ă©cole de JĂ©sus, on n'Ă©chappe pas forcĂ©ment Ă  l'Ă©preuve, mais on apprend Ă  lui donner un sens, Ă  l'orienter le plus possible vers la vie, Ă  l'assumer rĂ©solument dans la rĂ©ponse Ă  Dieu. Le fardeau demeure, mais il devient lĂ©ger, parce que c'est l'amour qui le porte ce n'est plus le fardeau honni, mais le fardeau de JĂ©sus. Le joug pĂšse encore sur les Ă©paules, mais il ne fait plus mal, parce que JĂ©sus lui-mĂȘme l'a posĂ© et l'ajuste chaque matin."Je vous ferai reposer", dit JĂ©sus. Or son repos Ă  lui fut rejoint Ă  travers la Croix ; et c'est dans ce mystĂšre qu'il nous invite Ă  entrer c'est par l'humilitĂ© et la douceur qu'il est entrĂ© lui-mĂȘme dans le repos de Dieu. 
 Mais en attendant, pour rĂ©sister, venez Ă  moi, vous tous qui ĂȘtes fatiguĂ©s et extĂ©nuĂ©s, vous, mes apĂŽtres, et avec vous, tous les hommes qui cherchent Dieu, qui pleurent Ă  cause de la souffrance qu’ils subissent sur terre, qui s’épuisent dans la solitude, et je vous redonnerai des forces. Prenez sur vous mon joug. Ce n’est pas un fardeau. C’est un soutien. Embrassez ma Doctrine comme si c’était une Ă©pouse bien-aimĂ©e. Imitez votre MaĂźtre qui ne se borne pas Ă  la proclamer, mais fait ce qu’elle enseigne. Apprenez de moi qui suis doux et humble de cƓur. Vous trouverez le repos de vos Ăąmes parce que la douceur et l’humilitĂ© pro­curent le royaume sur la terre et dans les Cieux. Je vous l’ai dĂ©jĂ  dit, les vrais triomphateurs parmi les hommes sont ceux qui les con­quiĂšrent par l’amour, or l’amour est toujours doux et humble. Je ne vous donnerais jamais Ă  faire des choses qui dĂ©passent vos forces, car je vous aime et je vous veux avec moi dans mon Royaume. Prenez donc mon insigne et mon uniforme, et efforcez-vous d’ĂȘtre semblables Ă  moi et tels que ma Doctrine vous l’enseigne. N’ayez pas peur, parce que mon joug est doux et son poids est lĂ©ger, alors que la gloire dont vous jouirez, si vous ĂȘtes fidĂšles, est infiniment puissante. Infinie et Ă©ternelle

VenezĂ  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeauIl y a des Ă©preuves pĂ©nibles Ă  vivre, dont . La librairie Label EmmaĂŒs, c'est aussi de la BD 📚 Label EmmaĂŒs
Évangile selon saint Matthieu 11, 28-30 Sainte du jour Notre-Dame du Mont Carmel En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole et dit Venez Ă  moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cƓur, et vous trouverez le repos pour votre Ăąme. Oui, mon joug est facile Ă  porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » PriĂšre L’enfant prodigue de ton cƓur que je suis, ĂŽ PĂšre, revient vers toi, et se blottit en JĂ©sus, ton Fils bien-aimĂ©. J’ai confiance en toi, car tu n’es pas un dieu lointain, mais tu es proche, seul et unique Dieu, prĂ©sence parfaite de ton Être, source de toute existence. Tu es tout amour et tout providence, tu es toujours lĂ . Je t’aime comme un fils rĂ©conciliĂ© avec son pĂšre et je te loue de toute ma vie pour te rendre familier parmi mes frĂšres et sƓurs. Amen. Demande Ô JĂ©sus, doux et humble de cƓur, rends mon cƓur semblable au tien. RĂ©flexion Venez Ă  moi 
 »AnimĂ© d’une ardente pitiĂ© pour nos peines et soucis, JĂ©sus nous invite aujourd’hui Ă  nous approcher de lui qui s’est rendu proche. Entrons dans la sphĂšre de son intimitĂ© et Ă©coutons dans sa respiration le souffle de la plus tendre consolation. Pourquoi m’est-il si difficile de m’approcher, d’entrer et d’écouter ?Je dois me rĂ©soudre Ă  dĂ©poser mon fardeau pour passer par la porte Ă©troite. Pourquoi est-ce que je ne lĂąche pas ? C’est comme si je prenais mon fardeau comme ma vĂ©ritable identitĂ© et sa Parole comme une utopie. Est-ce que je me mĂ©fie de son amour gratuit comme s’il Ă©tait intĂ©ressĂ© ? Devenez mes disciples. »JĂ©sus nous propose son joug en Ă©change de nos fardeaux. Est-ce que je le veux vraiment ? Prendre le joug avec JĂ©sus implique concrĂštement de se dĂ©tacher non seulement de quelques aspects de la vie, mais de renoncer Ă  tout pour le suivre. C’est avant tout une dĂ©cision de laisser sa volontĂ© propre et de se laisser idĂ©al est-il rĂ©servĂ© seulement aux prĂȘtres et aux consacrĂ©s ? L’Évangile concerne tous les baptisĂ©s. La vie monastique ou le mariage en sont ensuite les formes de rĂ©alisation, selon la vocation Celui que veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie Ă  cause de moi la trouvera. » Mt 16, 25 Je suis doux et humble de cƓur. »Avons-nous une idĂ©e claire de la vertu d’humilitĂ© ? Dieu Ă©ternel et tout puissant se cache dans l’humanitĂ© de JĂ©sus. OĂč est le bras puissant » de Dieu qui devait Ă©craser l’ennemi de son peuple ? Le Fils Ă©ternel du PĂšre se laissera clouer en croix, alors qu’à lui est destinĂ©e la crĂ©ation tout entiĂšre !Le cƓur de JĂ©sus est le reflet du visage de Dieu. Dieu ne veut pas nous convaincre par la force ni nous faire peur. Il veut susciter notre oui » libre et confiant et vaincre le mal par le bien. Obtient-on la paix et la rĂ©conciliation en rajoutant du conflit ? Y a-t-il une place pour la peur ou la colĂšre dans le Royaume des cieux ? Dialogue avec le Christ Je t’aime, ĂŽ JĂ©sus, quand je te vois souffrir pour moi. Laisse-moi rester prĂšs de toi pour entrer en confiance dans le dialogue intime de mon Ăąme avec toi. Je t’offre mon cƓur, mon Ăąme, mon esprit, mon temps et mes dĂ©sirs, afin qu’ils soient configurĂ©s Ă  ceux de ton divin CƓur et ainsi je puisse te reprĂ©senter de façon adĂ©quate Ă  ceux qui ne t’ont jamais reconnu. RĂ©solution Visite dans une Ă©glise ou communion spirituelle avec JĂ©sus, pour une rencontre spirituelle intense avec lui. PĂšre Jaroslav de Lobkowicz, LC
KF8MKcr.
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