Ilmenace son ex de diffuser des vidéos intimes si elle ne lui remet pas 5 000 euros . Un Achérois de 34 ans était jugé par le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines) pour avoir Votre situation Votre enfant a donné une photo intime à son copain ou sa copine, et il/elle menace de la montrer à tout le monde ? Un enfant de votre entourage a été piégé par webcam et est devenu la cible d’un chantage sexuel ou financier ? Vous cherchez une solution pour éviter de voir publiées ces images intimes ou pour les faire supprimer ? Sexting », revenge porn », sextorsion »… un point sur les mots On appelle le sexting » le fait de s’envoyer des photos ou textes sexuellement explicites des sextos », qui dérive de textos », surtout par téléphone portable. Ceci n’est pas uniquement une pratique d’adolescents, c’est aussi une pratique d’adultes ! Selon les chiffres d’une étude réalisée en 2015, 31,5% des adolescents français de 13-17 ans disent connaître la pratique du sexting1. 20% des adolescents ont déjà réalisé des photos ou des vidéos à caractère érotique ou pornographique. On appelle le revenge porn » en français, vengeance pornographique » le fait de se venger d’un ancien ou d’une ancienne petite amie qui nous a trompée ou quittée en diffusant ses photos ou vidéos intimes. On appelle la sextorsion » qui provient des mots sexe » et extorsion » le fait de diffuser des images sexuelles de quelqu’un ou de dire certaines choses qui pourraient porter atteinte à son honneur si cette personne ne donne pas d’argent, si elle ne répond pas à des demandes sexuelles, si elle arrête une relation… Si les images intimes ont déjà été diffusées, on parle de sextorsion. Si elles n’ont pas été diffusées, on parle de chantage, qui est tout autant interdit par la loi. Le plus souvent, la sextorsion a lieu par webcam avec une personne inconnue, rencontrée sur un tchat ou un site de rencontre. Cette dernière demande à ce que la victime se déshabille et en profite pour enregistrer la scène. Elle la fait ensuite chanter en la menaçant de diffuser ces images auprès de ses proches si elle ne donne pas d’argent. 1 DELMOTTE, Sophie 2016 Le sexting chez les adolescents modalités, conséquences, rapports avec la pornographie et leur sexualité. Th. doct. Médecine Université Lille 2 Droit et Santé, 91p. Avant toute chose rassurez la victime ! Il est fort probable qu’il/elle soit en train de culpabiliser pourquoi j’ai envoyé ces photos ? », j’ai vraiment été trop bête, trop naïve… ». Quand une personne est victime de chantage, elle est sous la pression permanente qu’un contenu intime sur elle-même puisse être diffusé sur Internet ou par SMS, à ses camarades, à sa famille… portant atteinte ainsi à son honneur on va penser que je suis une salope », tout le monde va voir une photo de mon sexe, on va se moquer de moi »…. La situation est très difficile à contrôler et l’angoisse est donc omniprésente. Si votre enfant a fait la démarche de venir se confier à vous, c’est qu’il/elle s’est senti suffisamment désemparée pour avoir le besoin d’en parler. Ne culpabilisez pas votre enfant. Rappelez-vous toujours qu’il s’agit d’une victime. Et que le coupable est celui ou celle qui menace la diffusion ou a diffusé ces contenus intimes. Il est possible que vous découvriez à ce moment l’existence de la vie intime de l’enfant, que vous n’imaginiez pas jusqu’alors, et vous pouvez en être surprise. S’il est normal pour un parent de ressentir de l’inquiétude quant à la sexualité de ses enfants Est-ce qu’ils se protègent ? », par exemple, il est important que vous gardiez à l’esprit qu’il est tout à fait normal pour les adolescents de vouloir explorer l’inconnu de la sexualité et que cela fait partie de leur intimité. Ne portez pas de jugement et évitez les remarques du type Pourquoi tu as fait ça ? », Si j’avais été à ta place… », C’est évident que… ». Tout le monde peut se faire avoir », même les adultes, encore plus lorsque l’on est dans une relation de couple où l’on fait confiance à l’autre. Chaque année, un nombre considérable de personnes sont victimes de revenge porn ou de sextorsion. Sans dramatiser, ne prenez pas la situation à la légère. Ce genre de situations a déjà emmené des enfants vers la dépression, voire le suicide pour les cas les plus graves. Pour près d’1 jeune sur 3 qui a déjà pratiqué l’envoi de photos érotiques ou pornographiques, celui-ci s’est accompagné de conséquences angoisse ou mal-être, harcèlement, sanction par les parents, dépression, hospitalisation ou tentative de suicide, exclusion scolaire. Montrez à votre enfant qu’il/elle peut compter sur vous et que vous allez tout faire pour l’aider à se sortir de cette situation. Ce que vous pouvez faire Contactez le 3018 Vous pouvez vous adresser au 3018, le dispositif national contre les violences numériques. Accessible soit par téléphone, soit par tchat en direct sur via Messenger ou WhatsApp, ce service gratuit, anonyme et confidentiel est disponible du lundi au samedi, de 9h à 20h. A votre demande, un signalement est immédiatement effectué auprès des réseaux sociaux Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram, TikTok, Twitch, Youtube, Roblox, Discord, Yubo pour obtenir la suppression du contenu qui porte préjudice à votre enfant. Si vous souhaitez porter plainte ou prendre rendez-vous auprès d’un psychologue, l’équipe professionnels pourra également vous renseigner et vous épauler dans vos démarches auprès des autorités compétentes, et vous orienter vers les services spécialisés La photo ou la vidéo n’a pas été publiée ou diffusée Voici ce que vous pouvez faire dès à présent Votre enfant doit demander à ce que soient supprimés les contenus intimes, et à ce qu’ils soient aussi supprimés sur les supports des personnes à qui ils auraient éventuellement été transmis. Votre enfant doit avertir la personne des sanctions qu’elle encoure si elle diffuse les contenus intimes vous trouverez toutes ces informations plus bas dans la partie ce que dit la loi » et dire qu’il/elle va porter plainte. S’il s’agit d’une personne qu’il/elle ne connaît pas l’enfant ne doit donner aucune information qui pourrait l’aider à faire son chantage. Il/elle doit vérifier que ses comptes sur les réseaux sociaux sont bien paramétrés pour que cette personne ne puisse pas avoir accès à sa liste d’amis ou à ses informations personnelles la ville habitée, son numéro de téléphone, son collège ou son lycée…. Si votre enfant est amie avec cette personne sur Facebook, il/elle doit la bloquer. Si la personne menace de publier sur Facebook, l’enfant peut signaler le chantage ici. Votre enfant doit prendre des captures d’écran de la situation les messages reçus, les contenus à effacer… et signaler directement la situation ici. L’anonymat peut être conservé, et la situation sera traitée de manière confidentielle. Votre enfant ne doit pas donner d’argent ou répondre aux demandes sexuelles. Votre enfant ne doit plus parler à la personne qui le/la menace. Si besoin, votre enfant peut avertir ses amis de confiance de manière à ce qu’ils puissent le/la tenir au courant si jamais la personne met ses menaces à exécution sur les réseaux sociaux. Vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été diffusé en tapant le nom et le prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si aucune de ces manœuvres ne réussit à faire arrêter le chantage ou supprimer ces contenus, rendez-vous à la gendarmerie ou au poste de police et portez plainte. Les gendarmes ou les policiers ont l’obligation de prendre votre plainte. En cas de refus, vous pouvez porter plainte directement auprès du Procureur de la République. La photo ou la vidéo a été publiée ou diffusée Voici ce que vous pouvez faire dès à présent Si la photo ou la vidéo intime apparaît dans les résultats quand on tape le nom de votre enfant sur Google, on peut demander à ce que ces résultats soient déréférencés, c’est-à-dire qu’ils n’apparaîtront plus dans les résultats de recherche associée à son nom. C’est ce que l’on appelle le droit à l’oubli ». Pour ce faire, rendez-vous ici. Δ Attention, cela ne supprime pas la photo ou la vidéo, c’est pour ça qu’il est important de faire supprimer les images en priorité. Vous pouvez vous adresser au 3018, le dispositif national contre les violences numériques. Accessible soit par téléphone, soit par tchat en direct sur via Messenger ou WhatsApp, ce service gratuit, anonyme et confidentiel est disponible du lundi au samedi, de 9h à 20h. A votre demande, un signalement est immédiatement effectué auprès des réseaux sociaux Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram, TikTok, Twitch, Youtube, Roblox, Discord, Yubo pour obtenir la suppression du contenu qui porte préjudice à votre enfant. Vous ou votre enfant devez signaler immédiatement la situation ici. Vous pouvez garder l’anonymat, et la situation sera traitée de manière confidentielle. Si le contenu se trouve sur Facebook, l’enfant peut utiliser le lien signaler » présent à côté de tous les contenus. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si le contenu se trouve sur Twitter, votre enfant enfant peut signaler les tweets et contenus choquants directement à partir des tweets ou via le centre d’assistance. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si besoin, votre enfant peut avertir ses amis de confiance de manière à ce qu’ils puissent le/la tenir au courant si jamais la personne met ses menaces à exécution sur les réseaux sociaux. Vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été diffusé en tapant le nom et le prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si aucune de ces manœuvres ne réussit à faire arrêter le chantage ou supprimer ces contenus, rendez-vous à la gendarmerie ou au poste de police et portez plainte. Les gendarmes ou les policiers ont l’obligation de prendre votre plainte. En cas de refus, vous pouvez porter plainte directement auprès du Procureur de la République. Et après… ? Une fois la situation rentrée dans l’ordre, vous pouvez proposer une discussion autour de ce qu’il s’est passé l’enfant s’est-il senti obligé ou a-t-il été forcé d’envoyer ces images ?, de la sexualité, des différents risques », tout en respectant l’intimité de votre enfant. S’il/elle ne souhaite pas en parler, ou si vous ressentez vous-même de la gêne, indiquez-lui que vous restez à sa disposition, et qu’il/elle peut également en parler à quelqu’un de confiance sa tante, son grand frère, les professionnels du planning familial ou de la maison des adolescents…. Acceptez le fait qu’il ne veuille pas vous en parler à vous directement, même si c’est difficile. Notez qu’il est en général plus facile pour un enfant de discuter de ces sujets avec le parent du même sexe. En ce qui concerne la pratique du sexting, tant qu’elle est volontaire et non subie par votre enfant, elle reste une partie de sa sexualité et donc de son intimité. S’il est fort possible qu’après un événement stressant lié à cette pratique, il/elle ne souhaite plus s’y adonner pendant quelques temps, cela peut aussi ne pas être le cas. Considérant que l’on ne peut empêcher les adolescents de s’envoyer des sextos », le Dr. Sophie Delmotte, auteure de l’étude sur le sexting, recommande de les inciter à rendre anonyme les clichés pris, à prendre des précautions sur le lieu, les parties montrées dans leur mise en scène » afin de [limiter] les retombées et conséquences de cette pratique ». Pendant quelques temps, vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été de nouveau diffusé en tapant les nom et prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Agir en prévention Vous êtes parent ou travaillez au contact d'enfants ? Vous êtes parent une discussion avec votre enfant sur les risques que peut comporter certaines pratiques, notamment le sexting, peut être très utile. Des articles de presse sur le sujet sont idéals pour amorcer la conversation. Vous travaillez au contact des enfants n’hésitez pas à aborder le sujet, en vous appuyant par exemple sur les différents documents réalisés par Point de contact sur le sexting et la sextorsion. Des vidéos peuvent également être utilisées comme support, notamment celle réalisée par la Sûreté du Québec. Ce que dit la loi sur… Le droit à l’image pas de photo, texte ou vidéo publiée sans consentement ! Le droit prévoit que l'image et les informations personnelles d'une personne doivent être protégées car il s'agit du droit fondamental à la vie privée des personnes article 9 alinéa 1 du code civil. Le consentement doit être donné par les deux parents lorsque la personne représentée sur l’image est mineure. D’après la loi la transmission ou la diffusion de l’image d’une personne, se trouvant dans un lieu privé et sans son consentement peut être sanctionné d’1 an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende article 226-1 Code pénal. S’il s’agit d’une image ou une vidéo prise dans un lieu public dans la rue rue, la plage…, c’est aussi interdit, et l’on pourra se reporter à l’article 9 du Code civil. Lorsque les photos ou vidéos intimes représentent une personne mineure, la peine est encore plus lourde le fait, en vue de sa diffusion, de fixer, d’enregistrer ou de transmettre l’image ou la représentation d’un mineur lorsque cette image ou cette représentation présente un caractère pornographique est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende article 227-23 du Code pénal. Lorsque l’image ou la représentation concerne une personne mineure de 15, ces faits sont punis même s’ils n’ont pas été commis en vue de la diffusion de cette image ou représentation. Cas de condamnations pour revenge porn septembre 2015. Le droit à l’effacement Toute personne peut demander à faire effacer ses données des résultats d'un moteur de recherche. La loi européenne donne la possibilité d’obtenir l’effacement des données personnelles en ligne photos, vidéos, textes… article 17 du règlement UE 2016/679. Le chantage et de la sextorsion Si quelqu’un menace de diffuser une photo ou une vidéo ou de révéler à tout le monde des choses qui pourraient porter atteinte à l’honneur si l’on ne donne pas d’argent, d’autres photos intimes, ou si l’on ne continue pas une relation… il s’agit de chantage. Au regard de la loi, c’est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000€ d’amende article 312-10 du Code pénal. Si la personne a mis ses menaces à exécution et qu’elle a diffusé ces photos ou vidéos, ou qu’elle a révélé des choses portant atteinte à l’honneur, on parle alors de sextorsion », qui est punie comme l’extorsion la peine est de 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende article 312-1 du code pénal. Le harcèlement La loi punit aussi le fait qu’une personne harcèle celle-ci risque 1 an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende. La peine est plus lourde encore si l’enfant a moins de 15 ans OU si le harcèlement s’est fait sur Internet 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende, et peut même atteindre 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende si l’enfant a moins de 15 ans ET que le harcèlement s’est fait sur Internet article 222-33-2-2 du Code pénal. Les menaces de crime meurtre, viol… ou de délit agression, violences…, de manière répétée, sont aussi punies par la loi. Cette réponse a été rédigée par l’équipe de la Fondation pour l’Enfance. L’association e-Enfance y a aimablement contribué en faisant part de son expertise sur le sujet.

Jesignalais juste que ce genre de diffusion avait des conséquences, rares, mais toujours inutiles et souvent mal dirigées. Et j'y rajoutais mon point de vue sur le nauséabond de la méthode, un ressenti personnel, rien de plus. Sur ta remarque à oulianov, j'ai envie de te répondre que tu as raison mais que les trajets du quotidien croisent moins souvent le chemin de

Suite aux nombreuses réactions après qu’il a retiré le micro de la Rts1, Ousmane Sonko est revenu, ce lundi, sur cette affaire. Il a d’emblée rappelé que beaucoup d’argent a été mis à la disposition de la télévision nationale pour la construction d’une tour. Ces milliards qui seront utilisés pour la construction d’un building, c’est notre argent, c’est les impôts payés par nous Sénégalais », a fustigé le leader du annonce dans la foulée la publication d’une liste rouge des médias qui soutiennent le pouvoir. Il y a des organes de presse qui ont déjà fait le choix de s’allier avec Macky Sall pour combattre l’opposition. Ces jours à venir nous allons publier une liste rouge des organes de presse corrompus par Macky Sall », a promis le maire de Ziguinchor devant ses sympathisants. Selon Ousmane Sonko, les membres de l’opposition n’ont même pas 5 minutes de temps d’antenne à la Rts. On ne les voit que lors des campagnes électorales. Le reste de l’année, la RTS ne fait que chanter les éloges de Macky Sall. Personne ne m’empêchera de dénoncer cela ». Source Continue Reading
Cest pour une histoire de chantage qu'un jeune homme de 19 ans était convoqué, mardi 25 septembre, devant le tribunal correctionnel de Cherbourg. Il ne s'est pas présenté.
J'étais posé chez moi quand une envie soudaine surgit Ni une, ni deux, je sors mon ordi, ferme les volets et commence mon affaire. En plus, je décide de jeter un coup d'œil à la taille de ma bite, à l'aube de mes 21 ans, la taille définitive est atteinte. 14 cm de longueur + 13 de circonférence, ce n'est pas fameux. De toute façon la taille compte pas, mieux vaut en avoir une petite travailleuse, qu'une grosse feignante disait mamie Bref, deux jours plus tard, je reçois une lettre et une clé USB. Je mets la clé et mon antivirus ne voit rien de clés, y avait une putain de vidéo de moi en train de me masturber Un gars m'avait filmé depuis la rue, avec une caméra thermique On voit une ombre toute rouge de moi en train de me branler + mesurer ma bite putain Il veut 1500e en premier versement, je fais quoi ?Edit J'ai oublié, il veut aussi diffuser mon adresse et une photo de moi prise dans la rue Message édité le 01 mars 2018 à 203635 par LaRemontada
Aprèslui avoir posé quelques questions sur sa vie privée, cette personne l’invite à approfondir les échanges via une conversation vidéo plus intime. Quelque temps plus tard, un Amoureux de la forêt amazonienne, Paul Rosolie voulait frapper les esprits pour dénoncer sa destruction. Ce défenseur américain de l'environnement a décidé de se faire avaler vivant par un anaconda, pour un documentaire choc bientôt diffusé dans des dizaines de pays. Ces prédateurs, considérés comme les plus gros serpents au monde, étouffent généralement leur proie avant de l'ingérer. Aucun homme n'avait jamais tenté le défi, dont les détails n'ont pas été divulgués, pour garder le suspense de l'émission de la chaîne Discovery. Mais le jeune Indiana Jones de l'environnement en est sorti vivant et fier, affirmant même que l'aventure avait été pour lui "un privilège". Avec quand même la peur de mourir étouffé. Un système pour respirer et communiquer avec l'extérieurL'idée "est venue après avoir passé dix ans dans la forêt amazonienne et son habitat. Tout le monde sait qu'elle disparaît, mais il n'y a pas assez de gens qui y font attention. Nous avons donc voulu faire quelque chose qui choque vraiment les gens, et provoquer des réactions". Toutes les précautions ont été prises pour qu'il ne meure pas étouffé. Des experts lui fabriquent d'abord une combinaison spéciale en fibre de carbone, équipée de caméras, d'un système pour respirer, et d'un autre pour communiquer avec l'extérieur. "Nous ne savions pas si cela allait marcher, si j'allais être avalé par l'anaconda. Mais nous voulions être sûrs que je n'étoufferais pas". Il a fallu ensuite trouver un anaconda dans la jungle amazonienne au Pérou. "Soixante jours dans la jungle, marchant, campant, explorant les marécages la nuit", raconte Paul Rosolie, en soulignant les dangers d'une telle expédition. Un prédateur de 6 mètresUn premier anaconda est tellement énorme, plus de 7,5 mètres de long pour quelque 135 kilos, que l'équipe ne peut pas s'en saisir. Un serpent femelle de 6 mètres fera l'affaire. "Il n'a pas immédiatement essayé de me manger. Il a essayé de s'échapper", raconte Paul Rosolie. "Mais quand je l'ai provoqué, et ai commencé à agir plus comme un prédateur, alors il s'est tourné et s'est défendu." L'explorateur, avalé tête la première, passera selon lui une heure à l'intérieur. "Avec la combinaison spéciale, et bougeant avec le serpent, c'était dur de garder la notion du temps". Durant tout ce temps, il parle avec son équipe à l'extérieur. "J'aime cette espèce, c'est une créature magnifique. Faire ça était un privilège. Vous vous confrontez à l'un des plus grands prédateurs de la planète et faites quelque chose que personne n'a fait avant vous. J'étais très enthousiaste, mais j'étais, bien sûr, un peu nerveux", ajoute-t-il. Il dit avoir craint surtout les éventuels ennuis techniques "Que le système de communication tombe en panne, ou celui permettant de respirer, ou les deux. Et je n'aurais pas pu ressortir, et j'aurais étouffé." Un coup publicitaire ?Il ne raconte pas comment il a recouvré sa liberté, mais insiste sur le fait que rien n'a été fait qui ne se produise pas dans la nature. "Les serpents régurgitent souvent s'ils mangent quelque chose et qu'un prédateur survient. Ils doivent abandonner leur repas afin de s'échapper", explique-t-il. "Nous n'avons pas forcé le serpent à faire quoi que ce soit qui sorte de l'ordinaire. C'était un risque pour moi, mais jamais un risque pour le serpent", insiste-t-il en soulignant que la femelle anaconda "va bien".Après l'annonce de l'émission, certaines critiques ont cependant été féroces, notamment du groupe de défense des animaux PETA qui a dénoncé un "coup publicitaire" et affirmé que si c'était vrai, le serpent avait été "tourmenté pour des taux d'audience". Rosolie dit même avoir reçu de nombreuses menaces de mort. Il en sourit, préférant insister sur son objectif de choquer pour sensibiliser le plus grand nombre. 3 millions de téléspectateurs attendus aux États-Unis"En faisant une émission plus populaire, plus excitante, et en même temps qui a du sens, vous élargissez les horizons des gens qui vont aimer l'Amazonie." Et il souligne qu'une collecte de fonds pour protéger l'Amazonie sera associée à l'émission, qui a aussi selon lui permis de mener une première étude des anacondas dans leur habitat. Discovery en tout cas attend au moins 3 millions de téléspectateurs aux États-Unis et des millions d'autres dans le monde."Dévoré vivant" sera diffusé dimanche soir aux États-Unis, puis le 10 décembre en Finlande, au Danemark, Hongrie, Pologne et Suède, le 12 en Australie, Nouvelle-Zélande et Royaume-Uni, avant d'être étendu à d'autres pays dont la Chine et l'Inde. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info VIDÉO– Soprano : une enseignante menacée pour avoir utilisé son image, il réagit. Invité de C à vous sur France 5 ce mardi 18 janvier, Soprano s’est exprimé au sujet d’une Un jeune de 19 ans a été condamné à 4 mois de prison avec sursis pour une tentative d’extorsion sur son ex-petite amie. Il lui demandait de l’argent pour ne pas diffuser une vidéo. Par Julien Van Caeyseele Publié le 2 Jan 14 à 1000 La République de Seine et Marne Le couple avait passé la nuit dans cet hôtel de Savigny. Le prévenu avait fait croire à l’existence d’une vidéo pour soutirer de l’argent à son amie qui avait rompu Une histoire d’amour qui a mal tourné. » Voici comment Mohamed, un Savignien de 19 ans, a expliqué les faits de tentative d’extorsion par menace qui lui étaient reprochés. Ce jeune homme a comparu, jeudi dernier devant le tribunal correctionnel de Melun pour avoir, par le biais de messages, tenté de soutirer de l’argent à sa petite amie qui l’avait comprendre le contexte de la rupture, il faut remonter au 16 février. Le couple passe la nuit dans un hôtel de Savigny. Le 11 mars, la séparation est officielle. Son ex-petite amie se présente à la gendarmerie pour dénoncer des faits de viols. Des charges qui ne seront pas retenues contre Mohamed. Des accusations mensongères, elle a vu que ça n’a pas marché donc elle a monté cette affaire », en examen pour braquageMais dans la nuit de la séparation, il envoie plusieurs SMS à la jeune femme. Parmi eux, il menace de diffuser une vidéo de leurs ébats contre une somme d’argent. Si tu continues je l’affiche dans tout Paris » écrit-il. Il s’agit d’une vengeance dans un contexte de séparation », lui a rappelé la procureure. Et la juge d’ajouter Toutes les histoires d’amour ne finissent pas au tribunal. »À la barre, Mohamed, a assuré que cette vidéo n’a jamais existé. J’assume les messages, il y a une partie de chantage mais c’était sous le coup de la colère. Je n’ai pas besoin de son argent. » Dans ses réquisitions, la procureure a évoqué un contexte désagréable voire inquiétant. Il y a eu plusieurs messages sur une longue période remis à une jeune femme fragile. »La magistrate a demandé six mois de prison ferme pour ce jeune homme déjà condamné pour des dégradations, vols et mis en examen pour un braquage. Si elle était venue à l’audience je me serai excusé. Je l’aimais, je ne voulais pas lui voler de l’argent », a-t-il insisté. Il a été reconnu coupable par les juges et condamné à quatre mois de prison avec sursis et 200 € d’ article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La République de Seine et Marne dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. LeChef de cabinet du ministre Diène Farba Sarr de la délégation Générale à la Promotion des Pôles Urbains de Diamniadio et de Lac Rose est dans de beaux draps. En effet, Ousmane Noël Dieng a traduit en justice son ancien chargé de communication Babacar Sow, Soda Guèye alias Fatou Fall et Aïssatou Sow devant le tribunal des flagrants délits de Dakar
Onze personnes, sur treize prévenus, ont été condamnées mercredi 7 juillet à des peines allant de quatre à six mois de prison avec sursis."Je ne veux plus jamais qu'on fasse culpabiliser les victimes", a déclaré Mila à la sortie du tribunal correctionnel de Paris, mercredi 7 juillet, après la condamnation de onze des treize prévenus à des peines allant de quatre à six mois de prison avec sursis pour cyberharcèlement. C'est à la 10e chambre correctionnelle du tribunal de Paris que s'est tenu ce procès. Franceinfo revient sur cette affaire qui a bouleversé la vie de cette jeune fille, qui vit désormais sous protection policière. Un blasphème et des menaces de mort Le 18 janvier 2020, Mila, alors âgée de 16 ans, publie une vidéo en live sur Instagram où elle raconte avoir été insultée par un homme alors qu'elle parlait de ses préférences sexuelles. "Ensuite, le sujet a commencé à déraper sur la religion. Donc moi j'ai clairement dit ce que j'en pensais. Parce que la liberté d'expression, tu connais ?", interpelle-t-elle face caméra, avant de terminer par une critique virulente de l'islam. "Votre religion, c'est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir", conclut-elle. Les images, massivement relayées sur les réseaux sociaux, déchaînent alors un flot de réactions haineuses et de menaces. Dans la foulée de cette vidéo, le compte Instagram de Mila est piraté et ses données personnelles récupérées puis diffusées. La jeune fille reçoit des menaces de mort et de viol. Elle est retirée de son lycée de Villefontaine Isère et mise à l'abri. Son avocat, Richard Malka, évoque un "lynchage numérique" qui n'a guère cessé depuis. "Jamais dans l'histoire de ce pays une jeune fille n'a reçu 100 000 messages haineux, avec évidemment une connotation sexiste, homophobe", a-t-il décrit à franceinfo, le jour de l'ouverture du procès. Dix mois plus tard, le 14 novembre 2020, Mila décide de répondre à ceux qui l'insultent, la menacent et lui promettent la mort dans une vidéo publiée sur TikTok, où elle critique à nouveau l'islam. Elle redevient alors la cible d'appels au meurtre. Parmi les centaines de messages violents et d'insultes reçus, se trouvent ainsi des photomontages "avec la tête de Mila sanguinolente à la place de Samuel Paty", cet enseignant d'histoire-géographie décapité à l'automne 2020, pointe son avocat. Une vie "bunkerisée" depuis ses 16 ans Cela fait pratiquement deux ans que Mila, qui vient d'avoir 18 ans, vit cachée. "Elle est recluse, dévoile son avocat Richard Malka. Elle reste confinée aujourd'hui et pour plusieurs années. Elle ne peut pas aller en terrasse." Avant d'ajouter "C'est la première fois dans l'histoire de ce pays qu'une jeune femme de cet âge-là fait l'objet d'une protection policière 24 heures sur 24. Ça n'existait pas. Vous pouvez imaginer la solitude que cela induit ?" Au lendemain de la deuxième salve de cyberharcélement contre Mila en novembre 2020, Richard Malka avait comparé la vie de sa cliente à celle des salariés du journal satirique Charlie Hebdo, dont il est aussi l'avocat. "Vous pouvez imaginer comment elle va sa vie a basculé, elle a 17 ans, elle vit comme les gens de Charlie Hebdo maintenant, bunkerisée... C'est insupportable !", s'était-il indigné selon BFMTV. Outre une vie sociale bouleversée, la scolarité de Mila s'est quasiment terminée en même temps. Après avoir été contrainte de quitter l'établissement de Villefontaine jusqu'en juin pour des raisons de sécurité et avoir attendu que l'Education nationale lui propose un nouvel établissement, la jeune femme a fait un bref passage dans un lycée militaire tenu secret. Mais en décembre dernier, elle a été nouveau exclue après avoir dévoilé le nom de l'internat dans un live sur Instagram auquel assistaient une vingtaine de personnes. "On a une jeune fille que le système scolaire ne peut plus prendre en charge. On lui dit 'Rentrez chez vous madame, on ne peut pas assurer votre sécurité, on met un terme à votre scolarité !'", se désole son avocat. Au moment des faits, Mila ne s'était exprimée qu'une seule fois, à visage découvert, sur le plateau de l'émission "Quotidien", assurant ne "pas regretter" ses propos, le 3 février 2020. De nouveau sous les projecteurs avec l'ouverture du procès de ses cyberharceleurs, la jeune femme a affirmé, sur TF1, dimanche 13 juin, qu'elle se voyait "peut-être morte" dans cinq ans. "Je ne suis pas capable de voir mon avenir comme les autres", a-t-elle déploré, à une semaine de la reprise du procès. Entre-temps, la jeune fille a choisi de prendre la plume pour revenir sur cette affaire. "Quand vous lirez ces lignes... J'ignore si je serai encore vivante. Une nouvelle journée commence. Et avec elle, de nouvelles menaces noient mon téléphone", débute ainsi son livre Je suis le prix de votre liberté, paru aux éditions Grasset le 16 juin. Une affaire qui divise l'opinion publique Rapidement, l'affaire Mila a été évoquée sur les plateaux de télévision et les réseaux sociaux, certains soutenant la jeune fille au nom du droit à la liberté d'expression avec le hashtag JeSuisMila, et d'autres se réclamant de la lutte contre l'islamophobie sous le hashtag JeNeSuisPasMila. L'ancienne ministre de l'environnnement, Ségolène Royal, avait expliqué au Parisien qu'elle n'aurait "absolument pas" partagé le mot-clé JeSuisMila pour soutenir la lycéenne, ne souhaitant pas qu'"une adolescente qui manque de respect" soit "érigée en parangon de la liberté d'expression". L'affaire s'est d'ailleurs vite invitée sur un terrain politique. Le 29 janvier 2020, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, avait suscité une polémique après avoir été interrogée sur ce qui était le plus grave "entre insulter une religion ou menacer de mort quelqu'un", sur Europe 1. "Dans une démocratie, la menace de mort est inacceptable", avait-elle déclaré, ajoutant que "l'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave". Sa déclaration avait été vivement condamnée et la garde des Sceaux avait reconnu une expression maladroite. En haut lieu, le soutien est sans faille. Dans un entretien accordé au Dauphiné libéré réservé aux abonnés, le 12 février 2020, le président Emmanuel Macron appuie la revendication de Mila au droit au blasphème "La loi est claire nous avons droit au blasphème, à critiquer, à caricaturer les religions". Rappelant que l'Etat lui "devait une protection". A quelques jours de l'ouverture du procès des cyberharceleurs de Mila, le 3 juin, le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, avait de nouveau pris la défense de la jeune femme devant l'hémicycle, dénonçant "un scandale au cœur de notre société", relate BFMTV. Deux enquêtes et plusieurs gardes à vue La justice, elle aussi, n'a pas tardé à réagir. Le 15 novembre 2020, le parquet de Vienne ouvre une première enquête à l'encontre de Mila pour "provocation à la haine à l'égard d'un groupe de personnes, en raison de leur appartenance à une race ou à une religion déterminée". Elle est finalement classée sans suite fin janvier 2020. L'enquête a démontré que les propos diffusés, "quelle que soit leur tonalité outrageante", avaient pour "seul objet d'exprimer une opinion personnelle à l'égard d'une religion, sans volonté d'exhorter à la haine ou à la violence contre des individus", a conclu le procureur en charge de l'affaire. En revanche, les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour trouver les auteurs des menaces de mort exprimées à l'encontre de la jeune fille, qui a porté plainte. Le 1er octobre 2020, un premier harceleur, un jeune homme de 23 ans, est condamné à trois ans de prison, dont la moitié ferme, pour avoir menacé l'adolescente de viol et de meurtre dans quatre vidéos postées sur internet. Une seconde enquête pour "menaces de mort par écrit et harcèlement électronique" est ouverte par le parquet de Vienne au lendemain de la publication de la seconde vidéo de Mila, le 15 novembre. Début décembre, le nouveau pôle national de lutte contre la haine en ligne OCLCH reprend le dossier afin de centraliser les investigations menées dans les différentes régions de France. En tout 10 hommes et trois femmes, âgés entre 18 et 30 ans, pour la plupart sans antécédent judiciaire et qui ne se connaissaient pas, ont été interpellés. Ils sont accusés d'avoir "harcelé en ligne" Mila après la publication de sa seconde vidéo en novembre 2020. Certains sont également jugés pour "menaces de mort", et l'un d'eux pour "menaces de crime". Lors de leur garde à vue qui s'est déroulée entre février et avril 2021, ils ont en grande partie reconnu être les auteurs des messages et ont dit les "regretter". Que cela soit N'Aissita, étudiante en psychologie qui a souhaité à Mila "de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister", Jordan, cuisinier de 29 ans qui l'a menacée de viol, ou encore Manfred, étudiant en droit qui a menacé la jeune fille "d'une Samuel Paty", ils sont tous convaincus de ne pas avoir harcelé Mila, détaille Le Figaro accès abonnés. Lors du procès, le procureur de la République n'avait pas mâché ses mots "Vous avez face à vous le nuancier de la bêtise et de la haine de proximité." Celui-ci avait requis six mois de prison avec sursis à l'encontre des neuf prévenus poursuivis pour harcèlement et menaces de mort et trois mois de prison avec sursis pour les trois prévenus renvoyés pour harcèlement.
Dansune vidéo, visionnée par plus d'un million de personnes, on voit une jeune femme danser avec le visage grimé en noir et vêtue d'un boubou africain, pendant qu'un homme imite un singe avec ETP diffuser le concert tant attendu qui a réuni les 16 candidats de la première édition de Operación Triunfo’. Les artistes ont offert un grand spectacle qui s’est tenu dans le Palau Sant Jordi à Barcelone. Les concurrents de la première édition de Operación Triunfo’ sur scène C’était tout un événement qui a réuni tous les concurrents. Plusieurs d’entre eux n’ont pas manqué l’occasion de poster sur leurs réseaux sociaux après avoir offert ce récital. Chanteuse giselle a écrit très chanceux de t’avoir… je t’aime »a répondu à un tweet de son fan club qui s’est rendu au Palau Sant Jordi pour la soutenir. La chanteuse a décrit le moment qu’elle a vécu comme Pure émotion… Merci à tous pour l’amour, la chaleur, le dévouement, la générosité… Je suis encore sous le choc de tout ce que j’ai vécu hier… Merci à tous !!! »a conclu la chanteuse sur une photo qu’elle a téléchargée sur son Instagram avec David Bustamante. Chenoa a publié une vidéo sur Instagram dans laquelle il remercie ses followers pour leur soutien Je tiens à remercier tous ceux d’entre vous qui étaient à Sant Jordi hier et à la maison. Le mot merci est ce qui rassemble le mieux ce que je veux et ce que je ressens ». Les filles de l’OT. Réunion’ Natalia a écrit sur son Twitter C’est impossible de dormir avec autant d’émotions !! Merci !! »a expliqué la chanteuse, très émue par les nombreuses félicitations que les candidates ont reçues pour le concert spectaculaire qu’elles ont offert, accompagnées d’une photo d’elle se produisant au concert. Le controversé Juan Camus a également écrit sur le même réseau social Mais, remplissons-nous vraiment le Palau Sant Jordi et atteignons-nous les maisons de tant de gens ? Humble et très reconnaissant parce que j’ai tout donné hier »a condamné l’interprète très ému, qui a finalement décidé de participer au concert. Le message émotionnel de Mireia L’un des messages les plus émouvants a été celui publié par Mireia, qui a partagé plusieurs photographies du spectacle. Sur son compte Instagram, la chanteuse a mis en ligne un collage accompagné d’un texte émouvant Et c’est arrivé… et puis on se rend compte à quelle vitesse arrivent les choses qui vous remplissent et vous rendent heureux. Merci à vous tous qui avez tout fait. est possible. Un rêve pour moi et pour le reste de mes 15 compagnons. Comme c’est différent de vivre avec la maturité.. Encore une fois… Quelle merveilleuse expérience grâce à OT1 », a écrit Mireia Montavez, émue. De son côté, la chanteuse gène a écrit Bonjour !! Voyons qui digère ça maintenant !! De retour à la maison toujours sur un nuage ! Merci !! »publié sur Twitter. VIDÉO- “Ecoute-moi bien” : les menaces de Vladimir Poutine envers Emmanuel Macron. Emmanuel Macron a tenté dans un premier temps d’apaiser le conflit russo-ukrainien à son échelle Présentationde l'établissement: La clinique Val Pyrène, située à FONT-ROMEU dans les Pyrénées Catalanes, est un établissement SSR spécialisé dans la réhabilitation des conduites addictives (68 lits). Grâce à son projet thérapeutique novateur, basé, entre autre, sur la pratique des activités physiques adaptées, l'établissement q1hB.
  • pqbqc7t14a.pages.dev/235
  • pqbqc7t14a.pages.dev/441
  • pqbqc7t14a.pages.dev/404
  • pqbqc7t14a.pages.dev/408
  • pqbqc7t14a.pages.dev/267
  • pqbqc7t14a.pages.dev/476
  • pqbqc7t14a.pages.dev/100
  • pqbqc7t14a.pages.dev/214
  • menace de diffuser une vidéo de moi